La Justice américaine continue de se pencher sur l’affaire qui oppose Mariah Carey à son ancienne collaboratrice. Récemment, la star américaine a accusé Lianna Shakhnazarian d’avoir détruit les éléments de preuve qui auraient pu faire pencher en sa faveur la bataille juridique. En effet, à la base, la plainte déposée par l’artiste était en relation avec un chantage dont elle dit être victime de la part de son ancienne assistante.
Une affaire de chantage…
Cette dernière serait en ce moment en train d’utiliser des vidéos intimes d’elle pour exiger le paiement d’un montant évalué à 8 millions de dollars. L’employée de l’artiste qui l’avait également poursuivie pour licenciement abusif et harcèlement a balayé du revers de la main toutes les accusations portées contre sa personne.
« Madame Shakhnazarian n’a rien fait de mal. C’est triste que madame Carey s’inquiète plus de la perception qu’on peut avoir d’elle, plutôt que de faire éclater la vérité. Je leur souhaite le meilleur », a notamment fait savoir Tobin Lanzetta, l’avocat de l’assistance de Mariah Carey.
Destruction intentionnelle de preuve
Selon les explications du conseil de Mariah Carey, Casey Laffey, dans de nouveaux documents présentés à la Cour suprême de Manhattan à New York, «Shakhnazarian a tenté d’éviter sa responsabilité en détruisant intentionnellement au moins trois catégories de preuves pertinentes ».
Elle aurait de « de manière irrévocable, empêché la capacité de Mariah Carey de déterminer si Shakhnazarian a transmis ces enregistrements à un tiers ». Il s’est notamment attardé sur la thèse selon laquelle les éléments de preuve supprimés par l’ex employée rendent difficile la défense de l’artiste.
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