,

USA : Donald Trump ordonne l’élimination d’un leader terroriste

Sale temps pour ceux qui se retrouvent sur la liste des terroristes établie par les Etats-Unis. Selon un communiqué de la présidence américaine, un des responsables du groupe Al-Qaïda a été éliminé suite à une opération commanditée par l’actuel locataire de la Maison Blanche. Il s’agit de Qassem al-Rimi, chef yéménite d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique. Plusieurs auteurs d’attentats ont revendiqué leurs attaques au nom du groupe.

Un ancien collaborateur de Ben Laden

L’homme qui a été éliminé avait initié de nombreuses attaques contre des ressortissants américains ainsi que des intérêts américains. Il se serait également fait remarquer par des attaques contre des civils au Yémen. Le terroriste aurait commencé ses activités depuis 30 ans environ selon les précisions du gouvernement américain.

Publicité

Il aurait par la suite collaboré avec le célèbre Oussama Ben Laden, l’auteur des attentats du Word Trade Center. Très récemment, Qassem al-Rimi avait revendiqué l’attaque perpétrée début décembre dans une base militaire américaine à Pensacola, en Floride, ayant tué trois marins. «Dans un discours audio de son chef, Qassem al-Rimi, Aqpa a revendiqué l’attaque en décembre 2019 de la base aéronavale de Pensacola», avait fait savoir SITE.  

Son décès affaiblit le groupe

Aussi le communiqué du gouvernement américain a-t-il indiqué que la mort de Qassem al-Rimi a le mérite d’affaiblir davantage Aqpa et le mouvement mondial Al-Qaïda. « Cela nous rapproche de l’élimination des menaces que ces groupes posent à notre sécurité nationale», martèle notamment le communiqué.

Rappelons que sous la supervision effective de Donald Trump, plusieurs responsables terroristes ont été abattus ces derniers mois. En octobre dernier, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’organisation jihadiste, a été visé par des commandos américains héliportés dans le nord-ouest de la Syrie. Il est décédé suite à cette opération.

Toujours au Moyen-Orient au début de l’année, le président américain avait autorisé des frappes qui ont abouti au meurtre du puissant général iranien Qassem Soleimani, un commandant des Gardiens de la Révolution. 

Publicité

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité