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France : un ex-premier ministre bientôt devant la justice

Par LNT
il y a 1 an
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Vingt-cinq ans après sa candidature, Edouard Balladur sera face à la justice dans l’affaire Karachi. Après plusieurs personnalités comme Thierry Gaubert (ancien membre du cabinet du ministre du budget) et Nicolas Bazire (directeur de campagne d’Edouard Balladur), c’est désormais le tour de l’ex-candidat à la présidentielle de 1995 de comparaître devant la justice.

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Une comparution qui fait suite aux rejets des recours de l’ancien ”challenger” de Jacques Chirac par la cour de cassation ce vendredi. La compétence des juges instructeurs, l’ampleur des charges et l’indépendance de la commission d’instruction de la Cour de Justice de la République (CJR), ce sont entre autres griefs que portaient à la cour de cassation, maîtres Patrick Spinosi et François Sureau, tous des avocats d’Edouard Balladur.

Accusé d’avoir financé sa campagne avec des rétro-commissions

Alors qu’il s’était pourvu devant la cour de cassation contre son renvoi pour « complicité d’abus de biens sociaux » et « recel » de ses délits, Edouard Balladur, l’ex-premier ministre, contre toute attente, a vu tous ses pourvois rejetés.  L’homme doit comparaître devant la Cour de Justice de la République à Paris le 30 septembre prochain.

Des sources proches de la justice révèlent que suite à plusieurs enquêtes qui ont duré des années, les magistrats ont la certitude que les fonds qui ont servi à la campagne de l’homme de 90 ans avaient été en partie financés par un système de retro-commissions illicites sur des contrats d’armements. Mais Edouard Balladur a rassuré que les fonds qui ont alimenté sa campagne sont plutôt issus des donations de ses militants et de la vente des produits dérivés.

Selon ses propos, il n’est « informé de rien sur l’existence de commissions… » ou « de rétro-commissions ».L’attentat de Karachi avait fait quinze morts dont onze employés français. Olivier Morice, l’avocat des familles des victimes, a jugé la décision de la CJR d’ « extrêmement importante ».

Commentaires 2

  1. Francois dit :
    13 mars 2020 à 19:52

    Au Benin cela s’appellerait chasse aux opposants!!!!

    Répondre
    • azalou dit :
      13 mars 2020 à 20:25

      il n’est pas opposant

      Répondre

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