La Crise qui secoue le Mali suite à la mascarade électorale contestée par le peuple a connu un véritable tournant depuis quelques semaines. Prenant la mesure de la situation, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a décidé de prendre le taureau par les cornes.
Après une première rencontre infructueuse, suite à laquelle l’Imam Dicko a laissé exploser sa colère, la CEDEAO a organisé un Sommet extraordinaire pour parler de la situation et proposer des solutions fortes. Suite à ce sommet, le président ivoirien a communiqué sur les grandes mesures annoncées par l’organisation. Lire ci-dessous sa déclaration :
Communiqué du président ivoirien Alassane Ouattara suite au sommet sur le Mali
Je salue les recommandations fortes qui ont été faites ce lundi au cours du Sommet extraordinaire de la CEDEAO, pour une sortie de crise rapide au Mali, notamment la démission des 31 députés dont l’élection est contestée, la recomposition de la Cour constitutionnelle, ainsi que la mise en place d’un Gouvernement d’union nationale et d’une commission d’enquête pour situer les responsabilités dans les violences qui ont secoué le Mali au cours de ce mois de juillet.J’exhorte les Maliens à tout mettre en œuvre pour préserver la stabilité et la paix dans leur pays.
Alassane Ouattara

ADO , qui va annoncer les mesures qui gbangban va bientôt commencer dans » ton pays » au moment des élections prėsidentielles ? Toi qui mélange tout là-bas pour rester au pouvoir . va là-bas !
Il y a une similitude entre la crise malienne et la situation politique au Bénin.
La CEDEAO, pour sa crédibilité doit prendre dès à présent en charge la situation politique au Bénin faite de l’exclusion de l’opposition de toutes les échéances électorales.
Je ne suis pas très sûr, que le peuple béninois restera muet et laisser Patrice Talon s’installer pour 5 ans encore au palais de la Marina en empêchessant tous les opposants à participer librement au jeu démocratique.
Que la CEDEAO, pour une fois fasse la prévention du conflit, plutôt que la gestion du conflit.
Sonagnon
Qu’on se dise la vérité
Sans pensée intellectuelle poussée
Pesons simplement la balance
Tu es sûr que si l’opposition était là
Les infrastructures seraient en place
Sonagnon
Depuis KEREKOU 1 ils ont eu 20 ans sans rien faire à part s’offrir des voitures des femmes et faire la fête. Envoyer leurs enfants dans des pays où on reconnaît l’Afrique comme une brousse avec des tenues en peau d’animaux
Oui ils étaient heureux comme ça
Sonagnon
Quand on va à un examen on se prépare non pas en faisant la fête mais en se sacrifiant et soi même on sait que c’est dur de le faire
C ce qui nous arrive actuellement
Je préfère de loin celui qui me surtaxe en me fournissant le travail bien fait à celui sui dort et qui se réveille pour me demander sa paye
C dure oui
Je le comprend en voyant Dantokpa chaque jour
Mais moi je vise le résultat
Ne vous laissez pas berner par ceux qui mettent la main à la casserole sans vous laisser une miette
Toute personne honnete et qui aime..ce pays ne peut nier..le fait que …666 a changé les mentalités…
mais…en analysant de pres…on se rend compte…qu’il a serré les vis..afin que lui seul…et son clan…profitent de toutes les vannes…de blé du pays
C’est ce qui fait mal
Attendez, moi je suis né à Cotonou j’ai grandi à Cotonou, je sais ce que KEREKOU a fait et ce que Yayi a fait.
Qu’est ce que Talon fait et les autres n’ont pas encore fait ???
Malgré tout ce qu’on peut reprocher à Yayi, Talon n’a pas encore fait la moitié des infrastructures que Yayi à fait pour le pays !!!
Encore que Talon fait en grande partie les projets de Yayi dont le financement étaient bouclés avant son arrivée.
Au delà des infrastructures, le Bénin ne peut pas supporter cette gouvernance de Patrice Talon, dans laquelle, il gouverne sans règle, et confond ses affaires personnelles et le patrimoine de l’état. Nous n’en sommes plus là. Le Bénin a déjà dépassé cette conception rétrograde de la gestion des affaires publiques.
En vérité Patrice Talon s’est trompé de job. Et s’il ne se retire pas à temps, il aura à coup sûr des surprises.
Quelles leçons celui-là peut donner et à qui ?
On sait tous comment il est venu au pouvoir.
Qu’il s’occupe de ses propres affaires.
Le spécialiste de la francafrique croit encore sauver les meubles. Il est trop tard. Vous avez trop tiré surla corde. Les peuples africains n’en peuvent plus. Basta!
Un chef de guerre qui parle de paix. Quelqu’un qui a pris le pouvoir dans le sang innocent de millier d’ivoiriens et il ose parler du Mali.
Bof….!!! Il y a quand meme une leçon à tirer..
Le peuple malien a gagné…et le mali ne sera plus comme avant…en attendant d’autres crises…
Pour nous au gwandana….si on avait été en mesure de payer le prix…et qu’un leader avait voulu assumer…en intégrant les forces…eh bien…on aurait pas un parlement installé..par les baillonnettes et les chars