Brigitte Anne-Marie Bardot est l’une des icônes du grand écran les plus connues de France. Désabusée par la façon dont elle sentait qu’elle avait été utilisée par les hommes et par l’industrie cinématographique, Brigitte Bardot avait abandonné sa carrière en 1973 pour devenir militante des droits des animaux. Ce mardi sur une radio, la célèbre actrice était revenue sur le soutien que via twitter, elle avait apporté aux forces de Police, il y a un peu moins d’un mois.
La Police on doit « toujours la respecter »
En juin dernier, le sexe symbole français des années 60, avait loué la « bravoure », le « courage » et l’ « abnégation » des forces de police. Des forces qui selon, Mme Bardot, étaient malmenées par un ministre de tutelle (Christophe Castaner) « lamentable » et un président de gouvernement « soumis ». Des mots durs à l’égard de l’exécutif français, que l’actrice avait réitéré ce mardi au cours de son entrevue sur une chaine de radio locale.
Pour Brigitte Bardot, qui avait revendiqué la pureté de ses origines le 12 juin , « je suis française de souche » avait-elle confié ; il était inconcevable qu’il puisse y avoir en France des « zones de non droit ». Des endroits où des populations se permettaient de défier l’autorité de la police sans qu’aucune mesure énergique, ne soit prise par les autorités gouvernementales. La police, « on doit toujours la respecter » avait-elle assénée.
Si l’actrice n’avait donné aucune précision sur ces zones en question et n’avait indexé aucun populations en particulier ; elle ne s’était cependant pas gênée pour tirer des traits enflammés sur le locataire de l’Elysée, le président Emmanuel Macron et son équipe,. Brigitte, révoltée par les informations récurrentes dans la presse et faisant état de policiers agressés ou molestés, avait déclaré sans peur de se répéter que pour elle, il ne faisait aucun doute que la France était gouvernée par des « par des lâches, des soumis, des sans-couilles».
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