Suspect blessé près de la Maison-Blanche : les révélations des services secrets

Ce lundi, en fin d’après-midi, un homme d’une cinquantaine d’années environs, créait sciemment une situation de conflit et de fusillade avec des agents des services secrets américains en faction dans une avenue dans les environs immédiats de la Maison-Blanche. Après avoir crié avoir une arme, l’homme dans une attitude agressive avait fait mine de sortir un objet de ses vêtements. L’agent des services secrets en faisant feu touchait l’assaillant au torse.

C’est en substance le résumé public fait par le ‘’US Secret Service’’, après la fusillade qui avait eu lieu ce Lundi dans les environs de la Maison-Blanche. Une fusillade qui avait tout de suite déclenché le protocole de protection de la Maison-Blanche et provoqué l’évacuation d’urgence du président, alors en plein point de presse.

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Une alerte à la fusillade…

L’incident, à l’angle de la 17ème rue et Pennsylvania Avenue, selon les services secrets, n’avait eu aucune incidence sur le protocole sécuritaire au sein même de la Maison-Blanche et de ses occupants, notamment le président Donald Trump et sa suite. Mais avait tenu à déclarer le service dans un point de presse, le Bureau de la responsabilité professionnelle des services secrets devrait incessamment procéder à un examen interne des actions de l’officier qui avait eu à faire feu sur l’assaillant. De même, les services de police métropolitaine de Washington avaient été contactés pour s’associer aux investigations.

Les services secrets des États-Unis sont une agence fédérale d’application de la loi dont le siège est à Washington, avec plus de 150 bureaux aux États-Unis et à l’étranger. Créé en 1865 uniquement pour réprimer la contrefaçon de la monnaie américaine, les services secrets sont aujourd’hui mandatés par le Congrès pour mener à bien les missions intégrées de protection et d’enquêtes.

Le 1er mars 2003, les services secrets ont été transférés du département du Trésor au département de la sécurité intérieure. La fusillade de Lundi, se serait au final révélée un incident mineur puisque le président avait selon la presse locale, repris quelques minutes plus tard, le point de presse qu’il avait abruptement interrompu au début de l’alerte.

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