Donald Trump : «pire président des temps modernes», selon le Washington Post

L’actuel locataire de la Maison-Blanche est perçu comme le pire président de l’Amérique contemporaine. Cette qualification a été utilisée par le très célèbre quotidien américain «Washington Post » ce lundi 28 septembre à la faveur d’un éditorial qu’il a rendu public. «Afin de renvoyer le pire président des temps modernes, de nombreux électeurs pourraient être prêts à voter pour presque n’importe qui», a fait savoir le Washington Post.

Le média peint en noir le mandat de Trump

 Le journal a très officiellement apporté par cette occasion son soutien au candidat démocrate qui selon lui serait le meilleur choix face au milliardaire républicain. Le Washington Post a notamment peint en noir les quatre années que Donald Trump a passées à la tête des Etats-Unis. Le média a mis l’accent sur la gestion qui a été faite par l’administration Trump des dossiers comme la pandémie relative au nouveau coronavirus ayant fait plusieurs milliers de morts.

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« Recul de la démocratie »

Il a évoqué les mouvements de débrayage observés dans le cadre de la lutte contre les violences policières envers les personnes de couleur et bien d’autres dossiers. Pour le média américain, Donald Trump a participé à l’augmentation à l’échelle mondiale des «autoritarismes» ainsi qu’à un «recul de la démocratie», et une «planète en danger à cause du changement climatique».

Une seconde fois contre Trump

Le comité de rédaction a par contre vanté les mérites de Joe Biden qui aurait toutes les qualités nécessaires pour relever le défi une fois à la Maison-Blanche. Rappelons qu’il y a quatre ans, le média avait apporté son soutien au candidat démocrate Hillary Clinton. Le président américain quant à lui, n’avait jamais caché son inimité face aux médias traditionnels.

2 réponses

  1. Avatar de Tchité
    Tchité

    Il faut qu’ils défendent leur pays tout comme Trump défend le sien.

    1. Avatar de Pierre
      Pierre

      Il faudra qu’on vous trouve une cervelle après une telle réflexion, lui Trump ne défend pas son pays mais ses intérêts et les écervelés formant sa base électorale.

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