John Lennon : son meurtrier dit mériter la prison à vie

John Lennon, était un ancien membre des Beatles, un groupe de rock britannique qui a transformé la musique populaire dans les années 1960. John Lennon était, avec Paul McCartney, lead vocal tous deux formaient une puissante équipe de chanteurs-compositeurs. Leurs chansons ont fait des Beatles le groupe musical le plus populaire du XX e siècle. Le quatuor, Lennon, McCartney, George Harrison et Ringo Starr, originaires de Liverpool, en Angleterre, a été très influencé par  les premiers succès du rock and roll aux USA.

En 1963,  le groupe prend d’assaut la Grande-Bretagne avec son single «Please Please Me ». Le 8 décembre 1980, Lennon était abattu alors qu’il entrait dans son luxueux appartement de Manhattan à New York. Son assassin lui avait tiré à quatre reprises à bout portant avec un pistolet calibre 38, Lennon avait 40 ans.

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Mark David Chapman regrette

Mark David Chapman, est l’homme qui a pris la vie de la rock-star en cet hiver de 1963. Un fan de la première heure qui selon les spécialistes de l’histoire des Beatles, a suivi son idole, Lennon,  dans tous les coins du monde. Chapman a été arrêté à quelques mètres de l’endroit où le meurtre a eu lieu, devant l’appartement de Manhattan Dakota que Lennon et sa femme Yoko Ono partageaient avec leur fils de cinq ans, Sean. Et depuis, Chapman condamné à perpétuité,  purge depuis maintenant 40 ans sa peine au centre correctionnel d’Attica dans l’état de New York. Le mois dernier, l’homme aujourd’hui âgé de 64 ans se voyait refuser pour la 11 ème fois, la liberté conditionnelle.

Au cours de  l’audience qui devait statuer sur cette 11 ème demande de liberté conditionnelle, que le prisonnier avait tenu à présenter ses excuses à la veuve du chanteur. À la barre Chapmlan avait déclaré être désolé pour son crime. « Je n’ai aucune excuse (…) Je pense que c’est le pire crime qu’il puisse y avoir de faire quelque chose à une personne innocente »  avait-il ajouté. Il avait également  expliqué que son geste avait été seulement dicté par une prétention démesurée, un désir « égoïste » de vouloir d’une certaine manière s’approprier la « gloire » de Lennon. Pour Chapman  le refus des juges de le remettre en liberté n’était que justice , parce qu’en réalité il ne « méritait rien, absolument rien ».

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