,

Suite au rapport d’audit effectué au Cpmi-Nfed, Le Professeur Rahimy confond le ministre Hounkpatin

<< L’audit dont le rapport rėactivė et introduit de nouveau à l’examen du gouvernement le 23 dėcembre passė par le ministre de la Santė, Monsieur Benjamin Hounkpatin, n’a l’objectif que de nuire gravement à ma personne d’universitaire accompli, à mon nom, à ma dignitė et à ma rėputation nationale et internationale. En rappel, cet audit a durė six mois, du 22 octobre 2018 au 29 avril 2019 en violation flagrante des prescriptions lėgales, normes professionnelles requises et surtout dans le non-respect dėlibėrė du dėlai d’un mois, comme imparti en l’espèce par la dėcision annėe 2018 nº3359-c/Mef/ Dc/Igf/Sp datėe du 19 octobre 2018 au ministre de l’Ėconomie et des finances et appliquėe par l’ordre de mission nº094/2018/Igf/Daafc du 19 octobre 2018…>>, a dėclarė, ce jeudi 07 janvier 2021 au Codiam à Cotonou, le Professeur Mohamed Chėrif-Deen Rahimy, en introduction de sa confėrence de presse à la suite de l’adoption du rapport d’audit effectuė au Centre de prise en charge mėdicale intėgrėe du nourrisson et de la femme enceinte atteints de drėpanocytose (Cpmi-Nfed) qu’il a gėrė pendant des annėes. Face à la presse, il a dėmontrė qu’il est victime d’une cabale montėe de toutes pièces par le ministre de la Santė, Benjamin Hounkpatin pour ternir son image.

Dėmontant les arguments de son ministre, le Professeur Rahimy a soulignė que la commission en question l’a rencontrė, une seule fois en visite de courtoisie et elle ne lui a jamais notifiė la fin de sa mission. << Plus grave, la commission ne m’a jamais entendu sur mes contre-observations encore moins me faire le retour de son opinion avant la rėdaction de son rapport dėfinif. Partant, elle n’a jamais partagė avec moi de l’absence ou de l’insuffisance de preuves que contient le document de mes contre-observations. J’ėtais parfaitement ignorant de son opinion accusatrice brandie par le ministre de la Santė…>>, a fait savoir le confėrencier. Lire l’intėgralitė de sa dėclaration

Publicité

Rapport d’audit effectué au CPMI-NFED : réaction du Professeur Mohamed RAHIMY

Mesdames, Messieurs, Chers compatriotes,
Avant tout propos, je me fais fort de cette pensée d’Albert EINSTEIN : « Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant du fait de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » pour éclairer l’opinion nationale et tout sachant sur la monstrueuse cabale et l’inavouable acharnement dont je suis victime depuis la prise de fonction du Ministre HOUNKPATIN à la tête du département de la Santé, es-qualité Ministre de la tutelle administrative du Centre de Prise en charge Médicale Intégrée du Nourrisson et de la Femme Enceinte atteints de Drépanocytose (CPMI-NFED), institué par le décret n° 2010-263 du 11 juin 2010 en un établissement public à caractère social et scientifique, par suite de mutations institutionnelles de mon projet scientifique individuel y relatif, dont les résultats probants ont suscité l’intérêt et l’accompagnement de notre État.

Aussi est-il érigé en une unité nationale autonome spécialisée de soins, de recherche et de formation sur la drépanocytose et de suivi médical régulier du nourrisson et de la femme enceinte atteints de cette pathologie.
L’audit dont le rapport réactivé et introduit de nouveau à l’examen du Gouvernement le 23 décembre passé par le Ministre de la Santé, Monsieur Benjamin HOUNKPATIN, n’a d’objectif que de nuire gravement à ma personne d’universitaire accompli, à mon nom, à ma dignité et à ma réputation nationale et internationale. En rappel, cet audit a duré six (06) mois, du 22 octobre 2018 au 29 avril 2019 en violation flagrante des prescriptions légales, normes professionnelles requises et surtout dans le non-respect délibéré du délai impératif d’un (01) mois, comme imparti en l’espèce par la décision année 2018 n°3359-c/MEF/DC/IGF/SP datée du 19 octobre 2018 du Ministre de l’Économie et des Finances et appliquée par l’ordre de mission n° 094/2018/IGF/ DAAFC du 19 octobre 2018.

J’ai rencontré les membres de cette commission une (01) seule fois, lors de leur visite de courtoisie d’accueil et cette commission ne m’a jamais notifié la fin de sa mission à date.
Également, contrairement à ses lettres, cette commission n’a jamais auditionné les prestataires intentionnellement ciblés et faussement incriminés, en particulier l’entrepreneur adjudicataire du marché N°075/MS/DC/SGM/PRMP/CPMI-NFED/SP du 02/03/2016 relatif à l’extension latérale du bâtiment abritant le siège du CPMI-NFED.

Publicité

En plus, dois-je souligner, la liste des observations, sous forme de relevé d’observations, m’a été transmise par courrier n°031/2019/IGF/COM, seulement le 08 mars 2019, soit hors délai du mois imparti pour les travaux (fin requise 20 novembre 2018 cf. décision et om.)
Plus grave, la commission ne m’a jamais entendu sur mes contre-observations encore moins me faire retour de son opinion avant la rédaction de son rapport définitif. Partant, elle n’a jamais partagé avec moi de l’absence ou de l’insuffisance de preuves que contient le document de mes contre-observations. J’étais parfaitement ignorant de son opinion accusatrice brandie par le Ministre de la Santé.

D’ailleurs, contrairement aux lettres du rapport définitif de la commission comme exploité et argué par le Ministre HOUNKPATIN, la commission n’a jamais élaboré un rapport provisoire à moi adressé par elle et reçu en vue de faire mes contre-observations. C’est faux et malveillant.
Enfin, la commission n’a jamais restitué jusqu’à date les pièces produites pour lui permettre d’accomplir sa mission et les documents à elle remis par bordereau à l’effet.

J’en étais là, quand, par bordereau n°5056/MS/DC/SGM/SA du 12 septembre 2019 et reçu le 16 septembre 2019, Monsieur le Ministre HOUNKPATIN m’a transmis le rapport de la commission (n°018-c/2019/MEF/IGF du 30 avril 2019) avec l’annotation manuscrite : « Pour exploitation », de même qu’une copie de la communication conjointe (MS et MEF) n°032-C/MEF/MS/DC/SGM/IGF/SP du 24 juin 2019. Après lecture des contenus dudit rapport et de ladite communication, j’ai réagi aussitôt en lui adressant la correspondance n°0621/MS/MESRS/CPMI-NFED du 30 septembre 2019 dont extrait que voici : « La commission de Madame CHIDIKOFAN a travaillé et a produit son rapport en toute opacité et en violation des règles et usages régissant un audit régulier, transparent, professionnel, contradictoire et impartial. À preuves, cette commission, après mes contre-observations écrites, ne m’a jamais soumis à un exercice contradictoire des pièces justificatives mises à sa disposition et des faits probants évoqués par moi, en dépit des multiples errements que j’ai soulevés dans ce document nonobstant ma quête réitérée d’une audition contradictoire. Mais ladite commission a trouvé le moyen de conclure au rejet systématique de mes contre-observations, au motif que ces dernières ne sont étayées « d’une moindre preuve»… »

Le Ministre de la Santé, Monsieur Benjamin HOUNKPATIN a opposé un silence assourdissant à ma dénonciation, bien qu’ayant annoté la correspondance sus indiquée le 02 octobre 2019, ainsi qu’il suit : « IGM – DC – CTJ Pour appréciations ».
Pourquoi, a-t-il opposé une fin de non-recevoir à une aussi vibrante dénonciation? L’exploitation faite aujourd’hui de ce rapport par cette autorité laisse bien envisager le but visé en ce moment.

Plus est, quelques mois plus tard, la même autorité, le Ministre HOUNKPATIN a été ampliataire de ma saisine de l’Inspecteur Général des Finances (IGF), Monsieur Zisson FACINOU (correspondance n°0329/MS/MESRS/ CPMI-NFED/SA du 23 mars 2020) à titre de dénonciation dudit rapport et de demande d’intervention, en réponse à son contrôle de mise en œuvre des recommandations de la commission d’audit simultanément requis du Ministre de la Santé et de moi-même. Est-il utile de faire remarquer ici, que cette requête de l’IGF met en lumière la procédure d’évaluation du niveau de mise en œuvre des recommandations formulées précédemment par la commission d’audit, convoquant du coup la fin du processus dudit audit. Il ne restait donc à cette étape qu’à prendre en considération le rapport d’audit et l’appliquer, sinon à remettre en cause son exploitation s’il est démontré, comme je l’ai fait, son inapplicabilité pour ses nombreuses irrégularités, défauts et faussetés.

Mais comble de déni de justice, à la date d’aujourd’hui, aucune de ces deux autorités, comme si d’entente concertée, n’a bougé. Mes contestations et dénonciations sont restées lettres mortes, classées sans suite. Le Ministre HOUNKPATIN et l’Inspecteur Général FACINOU se sont tranquillement murés dans un silence abyssal jusqu’à ce jour. Mais aujourd’hui on assiste à une rocambolesque réactivation, sans élément nouveau, d’un tel audit, consacrant ostensiblement l’objectif de nuire simplement.

À tout considérer, en dépit de son caractère délibérément accablant, nulle part dans le rapport n°018-c/2019/MEF/IGF du 30 avril 2019 (71 pages) il n’est mentionné : « graves anomalies – malversations. » Où Monsieur le Ministre a lu tels vocabulaires? À quelle fin cela est-il inventé pour corser le rapport dont il n’est pas l’auteur?

Il convient alors de demander à Monsieur Benjamin HOUNKPATIN quel est donc l’élément nouveau qui a motivé le réchauffage par lui d’un dossier vieux de déjà deux (02) ans ? Et pourquoi, la nouvelle communication adoptée le 23 décembre 2020 par le Conseil des Ministres sans jamais ordonner de nouvelles investigations et me confondre au moins sur mes contestations et dénonciations? Si ce n’est simplement une intention de me nuire en trompant la vigilante attention de la Haute Autorité?

Ainsi, a-t-il-été procédé à une dénaturation des termes du rapport dans l’objectif malsain de trahir l’esprit et le contenu du rapport en vue d’asseoir d’aggravantes accusations devant véritablement nuire à ma réputation et susciter contre moi, l’ire de la Haute Autorité.
C’est dans cette optique qu’ont été sciemment introduits, dans sa communication réchauffée les termes : « graves anomalies » et « malversations » qu’on ne retrouve nulle part dans le rapport d’audit, bien qu’intentionnellement voulu accablant par ses rédacteurs, incontestablement hors la loi, car agissant hors délai et procédant en l’absence du respect des règles requises et des normes généralement admises en la matière.

À contrario, il est utilisé sciemment les vocables : anomalies, risque de…etc…, et pour comble de conviction acquise, la commission a conclu ainsi qu’il suit : « Les insuffisances relevées ont été portées à la connaissance du directeur du CPMI-NFED pour recueillir ses contre-observations et des éléments de preuves pouvant les étayer. Mais en lieu et place des contre-observations documentées, il a produit à la commission un document de contestation de la plupart des observations sans apporter la moindre preuve. Il est très curieux que si les pièces justificatives que j’ai fournies ne sont pas plausibles pour cette commission, qu’elle ne m’ait pas soumis à un exercice contradictoire et si nécessaire public pour juger et confronter de la qualité des preuves soumises. Par ailleurs, la commission a poursuivi sa conclusion en ces termes : Suite aux insuffisances relevées, la commission a fait des recommandations pour une gestion plus rigoureuse et transparente du Centre de Prise en charge…(CPMI-NFED) ». (Cf. p71 du rapport de la commission signé le 29 avril 2019).

De constance indiscutable, ces lettres conclusives ci-dessus mettent en lumière qu’à son corps défendant, la commission n’a véritablement relevé que des insuffisances en raison de la réalité de l’implémentation d’une gestion déjà rigoureuse et transparente au CPMI-NFED, qu’il importe d’améliorer simplement. Ce n’est pas de mon cru cette conclusion suggestive qu’il convient de bien souligner et j’insiste : « POUR UNE GESTION PLUS RIGOUREUSE ET TRANSPARENTE » a-t-elle conclu.

Somme toute, la commission ne pouvait pas conclure autrement.
S’agissant des griefs listés dans le communiqué du Conseil des Ministres du mercredi 23 décembre 2020, d’emblée, je tiens à rétablir la vérité des faits en précisant avec force, que :

  1. Le processus d’attribution du marché de l’extension latérale du bâtiment abritant le siège du CPMI-NFED, à savoir de l’appel d’offre ouvert (AOO N°008/2015/BEN/MS/DC/SGM/PRMP/CPMI-NFED) à la remise du chantier d’un montant de 199 975 791 FCFA TTC à l’entreprise adjudicataire a été géré par le Ministère de la Santé en sa qualité d’autorité de tutelle. Les prix dudit marché sont fermes et non révisables pendant sa durée d’exécution et les factures sont toujours payées par chèques du Trésor Public. Des pénalités punitives (1/2000e du montant de marché par jour de retard et plafonné à 10% du marché) sont prévues au contrat en cas de retard dans l’achèvement des travaux de cette extension. De quoi accuse-t-on alors? Chers compatriotes, jugez-en vous-même.
    Sauf une volonté affichée de nuire à tout prix, la Commission et le Ministre HOUNPKATIN ont pleine connaissance de ce que, ce marché a été attribué en toute légalité et transparence. Pourquoi le Ministre de la Santé, n’a pas agi au moins, depuis sa connaissance du rapport d’audit, s’il était convaincu que ce retard était vraiment imputable à l’entreprise adjudicataire ?
    Par ailleurs, comment le Ministre HOUNKPATIN peut-il se plaindre du retard de ce chantier, lorsque depuis deux ans, il n’a fait que bloquer la poursuite normale des travaux de finition. N’est-ce pas sous son autorité qu’a été ordonné l’implantation irrégulière de l’édifice qui a mordu l’espace vital nord du chantier, entrainant la modification des travaux prévus et empêchant ipso facto les travaux de finition? Il s’agit en l’occurrence du chantier de construction irrégulière des soins palliatifs que le Ministre HOUNKPATIN faisait exécuter sans plan, sans architecte et sans entrepreneur et qu’il a dû faire arrêter, le mercredi 03 juin 2020 avec les responsables de son homologue du Cadre de Vie « pour violation avérée des normes et règles d’urbanisme en République du Bénin en général et en particulier s’agissant de l’édification des équipements hospitaliers ».
  2. La commission sait que c’est tout à fait faux de soutenir que je n’ai pas documenté de preuves mes contre-observations. Elle sait également qu’elle n’a jamais auditionné tout au long de ses travaux, ni moi-même, ni les prestataires ciblés, avant de forger ses opinions subjectives sous forme souvent d’observations accablantes. Elle sait qu’elle a porté des loupes de bois pour lire les pièces à elle produites pour les rejeter sans remédiation. Elle sait qu’elle ne m’a jamais adressé un rapport provisoire comme elle l’a affirmé dans le rapport pour m’accabler lâchement. Elle a été jusqu’à inventer des pièces et informations pour soutenir ses fausses accusations.
  3. La commission a trié sur le volet et pêle-mêle des cas d’absence de budget au titre des années 2011, 2012 et 2015, le non-respect du principe de séparation de l’ordonnateur et du comptable, des dépenses non budgétisées ou effectuées sans services faits, ou dans le non-respect des seuils requis, ou des commandes passées sans concurrence, la non-traçabilité de toutes les recettes du centre, le paiement irrégulier de primes etc. Pour autant la commission a su que le Centre a été établi en établissement par suite de mutation institutionnelle en 2010 et que le premier concours financier de l’État s’est effectué seulement en 2012. Mieux, que son premier Conseil d’Administration a été nommé seulement en 2013 pour un mandat de trois (3) ans et n’avait pas encore été renouvelé au moment de ses travaux. Davantage, le directeur que je fus a été formellement nommé en novembre 2014 et, au même moment, l’Agent Comptable a été appelé à une promotion par le Ministre de la Santé, sans un remplaçant d’avril 2014 jusqu’en décembre 2015. Ne devrais-je pas sécuriser les modiques recettes de l’établissement pendant cette vacance de poste? Que le Conseil d’Administration a bien autorisé le paiement de motivations et que le personnel a bénéficié de rappels. La commission n’ignore point les conventions régissant le CPMI-NFED et les partenaires d’une part et les institutions d’accueil de ses antennes régionales d’autre part qui ont permis de mettre en place une cogestion des antennes et les recettes sont bien tracées. Donc, il est trop facile pour un organe de l’État d’accabler le docteur RAHIMY sans discernement et sans réserve et sans esprit de responsabilité.
  4. De même, de quelles compromissions budgétaires et performance pour cause de malversations graves parle le Ministre HOUNKPATIN et dont il a connaissance depuis deux (02) ans, sans une petite réaction corrective? C’est simplement troublant!
    Finalement, de quoi parle-t-on, quand, en décembre 2018 suite à une mission d’évaluation des acquis, compétences et performances du CPMI-NFED diligentée par l’Organisation Mondiale de la Santé, cette dernière a établi et déclaré notre pays le Bénin « un des champions de la mise en œuvre d’actions dynamiques pour lutter contre la drépanocytose » (le seul en AFRIQUE FRANCOPHONE cf. lettre OMS/AFRO du 1er août 2019)?
    De quelle performance se soucie et se préoccupe le Ministre de la Santé HOUNKPATIN, lorsque es-qualité, il entreprend actuellement de fermer l’École de Formation Professionnelle du CPMI-NFED en plein essor, en intimidant les étudiants en formation spécialisée dédiée à abandonner leurs formations pour suppléer à la carence criante actuelle en ressource humaine du Centre?
    Dans le même temps, le Ministre de la Santé, s’employant à fermer la formation de spécialistes en prise en charge médicale holistique de la drépanocytose en cours d’exécution, s’active sans allure, comme par enchantement, de réfléchir sur une formation de base sur la drépanocytose?!!! Quelles inconséquence et incohérence?! Quelle supercherie à la limite criminelle ?! En effet, qui peut mieux réfléchir et assurer valablement une quelconque formation en cette matière en l’état actuel des lieux du système national voire international des soins et de la connaissance de cette maladie? Si ce n’est pas des spécialistes, sinon des personnes qui s’y sont investies et y accusent indiscutablement une expérience certaine? Il se vit une véritable aberration de l’intelligence et du progrès, sans doute.
    Pourquoi cet acharnement de Monsieur Benjamin HOUNKPATIN sur ma personne ? Quand on sait que j’ai servi et géré le CPMI-NFED au bas mot sous onze (11) Ministres de la Santé et pas des moindres dans notre pays avant l’avènement de Monsieur HOUNKPATIN.
    S’agirait-il pour lui, à travers tout ce charivari, d’une part de justifier mon remplacement faussement obtenu le 18 novembre 2020 et le crime en perspective de la fermeture de l’École de Formation Professionnelle, qui a effectué le 05 novembre 2020 sa deuxième rentrée scolaire avec une deuxième promotion d’étudiants en première année; et d’autre part de se prémunir des fâcheux revers et conséquences qui engageraient indubitablement sa responsabilité, en raison des actes et forfaits contre le CPMI-NFED, ses patients, les parents de patients, la Nation toute entière, l’État et bien plus, l’image et la respectabilité de notre pays sur le chantier des actions hardies de lutte contre la drépanocytose?
    Au total, dans cette cabale se manifeste ce que le Président TALON qualifie justement de pagaille. Une inédite vraie pagaille! À tout le moins, je voudrais humblement rappeler à tous, cette phrase d’une autorité de l’État le 19 juillet 2019, alors missionnée par le Chef de l’État à ma sollicitation, au cœur des menées diabolisantes pour empêcher l’effectivité du démarrage des activités de l’École de Formation Professionnelle du CPMI-NFED : « Il est temps d’émigrer d’un projet individuel du professeur RAHIMY pour un projet institutionnel, gouvernemental et présidentiel… »
    Enfin, pour parachever son dessein consistant à effacer de la mémoire des hommes et du registre des œuvres éternelles ce qu’accomplit le professeur RAHIMY au service de notre pays, je suggère à Monsieur le Ministre HOUNKPATIN d’aller se procurer une pelleteuse pour raser l’édifice majestueux du CPMI-NFED et ses antennes régionales, une initiative personnelle du Professeur Mohamed Chérif-Deen RAHIMY, construite pierre après pierre à partir d’une salle dimensionnée de six (6) mètres carrés. Le reste n’est et ne sera que futilité, vaine vengeance.
    Pour ma part, je suis dans l’attente de l’écoute du Chef de l’État, qui, je sais, abhorre l’injustice et les vacheries de ses collaborateurs et/ou concitoyens. En ce dossier, je suis convaincu qu’on lui a dit que des mensonges et beaucoup de faussetés pour nuire à ma réputation et au modèle inédit du CPMI-NFED.
    Sauf, à être au registre de l’asile des fous, je ne pourrai jamais commettre l’infanticide de cette véritable marque déposée, par cupidité, jouissance, incompétence ou médiocrité.
    Assurément, toutes ces forfaitures commises ou en commission ne resteront pas cachées pour longtemps encore.
    Je sais reconnaitre mes limites, tant il est vrai que la perfection n’est pas de ce monde et que la rigueur, la probité et l’intégrité sont mes humbles faiblesses reconnues par tous. Je vous remercie.
    Cotonou le jeudi 07 janvier 2021

Professeur Mohamed Chérif-Deen RAHIMY

2 réponses

  1. Avatar de Agbeti
    Agbeti

    Ce régime devient extrêmement dangereux pour le respect des droits. Il invente des supposes fautes pour détruire l’honorabilité d’honnêtes citoyens. C’est le cas avec l’ex maire de Calavi Bada!! On veut sacrifier des innocents pour avoir de la popularité. Ce n’est pas normale

  2. Avatar de Joeleplombier
    Joeleplombier

    En quoi ça regarde vos lecteurs les querelles administratives et de personnes.
    Changez de logiciels.
    Ce n’est pas un article digne d’un canard de droit Canadien
    Tchrous
    Je passais
    Le Plombier

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité



Publicité