La date de clôture de l’historique conférence des forces vives de la nation appelée à être inscrite dans les annales de l’histoire de la politique nationale. A l’instar de plusieurs organisations et personnalités l’Universitaire Joël Aïvo dans un post publié sur sa page Facebook a exhorté les gouvernants à déclarer le 28 février férié. (Lire son message)
Message de Joël Aïvo
Je rends hommage aux combattants de la liberté particulièrement aux dirigeants et militants du Parti Communiste du Dahomey qui ont payé un lourd tribu et à tous les acteurs de la Conférence nationale. Je salue l’esprit du consensus qui a refondé ce pays sur le dialogue, la tolérance et la liberté.
Le 28 février est une date à graver définitivement en lettre d’or dans l’histoire de notre pays. C’est une date historique que nul ne peut ignorer, banaliser ni effacer. C’est pour cette raison que je condamne le révisionnisme qui tente de jeter la Conférence nationale dans la poubelle de l’histoire et de liquider ses acquis et son héritage.
Nous sommes le 28 février. Mais paradoxalement, plus aucune référence à la Conférence nationale dans les discours officiels, plus d’activités de l’Etat sur cet événement, pas de commémoration non plus, plus aucun souvenir. Demain, l’Etat devra réhabiliter la Conférence nationale et faire du 28 février une fête nationale, un jour férié, chômé et payé sur l’ensemble du territoire national. Voilà un engagement. Il faudra le tenir demain pour que notre histoire collective ne soit pas emportée par le vent.
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