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France : la réponse de Dupond-Moretti aux policiers

Il y a quelques jours, des milliers de policiers se rassemblaient devant le parlement français pour demander…un renforcement de leur sécurité. En effet, les forces de l’ordre étaient sorties pour protester contre les attaques contre des collègues et leurs craintes croissantes pour leur propre sécurité. Selon les syndicats de la police, ce seraient 35 000 personnes qui se seraient déplacées pour la manifestation. Au cours de la manifestation, les syndicats avaient également récriminé contre la justice. Ce Dimanche, le ministre français de la justice, Dupond-Morreti a dit sur la question son sentiment.

La justice française n’est pas laxiste…

Mercredi dernier, les policiers, grandement critiqués pour leurs répressions agressives lors des dernières manifestations, ont réclamé des peines plus sévères pour les personnes qui s’attaquaient aux forces de l’ordre. Des réclamations qui étaient intervenues après le  meurtre de plusieurs policiers ces derniers mois. Les syndicats de police réclamaient entre autres la réintroduction des « peines planchers » pour les crimes qui ciblaient en particulier les forces de police.

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Ces peines, des peines minimales « d’au moins un tiers de la peine maximale prévue », ont été introduites par la loi du 10 août 2007, mais par la suite été abrogées en Juin 2014. Mercredi tous ces griefs avaient été soulevés par les syndicalistes qui avaient conclu que le «  problème de la police, c’est la justice !»

Ce dimanche, Dupond-Moretti réagissant aux propos des syndicalistes a répondu que les récriminations contre la Justice et notamment contre le ministère chargé de son application, n’étaient pas justifiées. Dans son entrevue avec la presse française, le ministre a donné des exemples de condamnation et de sentences posées qui allaient contre les accusations de laxisme portées à l’endroit de son ministère. En outre a également tenu à rappeler Dupond-Moretti, La justice et la Police étaient intimement liées dans leur nature et leur finalité ; «La police sans la justice, c’est le totalitarisme; la justice sans la police, c’est l’impuissance ».

Une réponse

  1. Avatar de Champredonde
    Champredonde

    Il faut privatiser les flics ce qu’a bien montré macron dans l’affaire benalla des mercenaires au service du pouvoir des marschal élu comme au usa le syndicalisme à la kebab à la mathieu le fameux commissaires foutez les dehors montré que vous êtes des hommes

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