L’ancien président américain s’est une fois encore attaqué à certains de ses anciens proches collaborateurs ce mercredi 5 mai. Il leur reproche toujours le manque de soutien dont il aurait fait l’objet quand il dénonçait les présumés fraudes qu’il y aurait eu lors de la dernière élection présidentielle aux Etats-Unis.
Dans le viseur de Donald Trump, figurent l’ancien vice-président Mike Pence ainsi que Mitch McConnell. L’ancien vice-président américain avait par exemple refusé de rejeter les certifications de plusieurs États le 6 janvier où les partisans de Trump ont attaqué le Capitole. Il a tiré également sur d’autres membres de sa formation politique qui ne cachent pas leur impression sur son échec à la dernière élection présidentielle.
« L’élection présidentielle de 2020 n’a pas été volée »
C’est le cas de Liz Cheney qui déclarait ouvertement qu’il n’y avait pas eu de fraudes lors du dernier scrutin présidentiel. «L’élection présidentielle de 2020 n’a pas été volée», avait-elle laissé lire sur le réseau social de l’oiseau bleu au début de la semaine. «Quiconque prétend que c’est le cas répand LE GRAND MENSONGE, tourne le dos à la primauté du droit et empoisonne notre système démocratique.», avait-elle ajouté.
Trump pense toujours à une élection volée
« La belliciste Liz Cheney, qui n’a pratiquement plus de soutien dans le grand État du Wyoming, continue de dire sans le savoir et bêtement qu’il n’y a pas eu de fraude électorale lors de l’élection présidentielle de 2020 alors qu’en fait, les preuves, y compris aucune approbation législative, comme l’exige la Constitution américaine montre exactement le contraire », avait répondu Donald Trump.
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