Suite aux accusations portées par la chanteuse lyrique sud-africaine Pretty Yende sur le réseau social Instagram, la police est montée au créneau pour s’inscrire en faux face à la publication qu’elle a faite. Selon des confidences qui ont été faites par des sources policières aux médias, il n’y aurait eu aucun incident contrairement à ce qu’a laissé lire la chanteuse. Elle n’aurait à aucun moment reçu l’ordre de se déshabiller.
« A aucun moment il n’y a eu d’incidents »
« À aucun moment il n’y a eu d’incidents », a confié une source policière. Cette même source précise que le problème avec la chanteuse sud-africaine est qu’elle disposait d’un passeport sud-africain qui n’avait pas de visa. Ainsi, avant d’examiner sa situation, elle aurait été placée dans une « salle de maintien ». Après une heure et demie d’attente, elle aurait obtenue selon cette source policière un visa qui lui a permis de rester sur le territoire français.
« Vérifications d’usage »
Il ne s’agissait que de « vérifications d’usage » et la chanteuse n’avait pas été victime d’un traitement raciste a tenu à marteler la source. Ces éclairages sont intervenus suite à la publication de la star sud-africaine. « La violence policière est réelle, pour les gens qui me ressemblent », avait-elle laissé lire. « Ils m’ont déshabillée et fouillée comme si j’étais une criminelle et m’ont placée dans une cellule », avait-elle poursuivi.
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