Les vendeurs de téléphones portables, tablettes et autres équipements radioélectriques servant à l’émission et/ou la réception de signaux non homologués sont actuellement dans le collimateur de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste (ARCEP-Bénin).
Dans un communiqué en date du 20 octobre 2021, l’ARCEP-Bénin a déclaré que «les équipements terminaux destinés à être connectés à un réseau de communication électroniques, doivent être préalablement homologués par l’ARCEP-Bénin.»
Selon l’ARCEP-Bénin, « tout importateur ou vendeur de téléphones portables, de tablettes et autres équipements radioélectriques servant à l’émission et/ou réception de signaux et de correspondances, doit s’assurer que ces produits ont été homologués, sous peine de l’application des dispositions de l’article 262 du code du numérique.»
C’est cela dans son communiqué, elle «invite toute personne physique ou morale à procéder à l’homologation des équipements ou terminaux en vente, au plus tard le 31 décembre 2021.»
Non « Mike »,
le cyberespace doit être considéré comme les autres
– espaces terrestre : véhicules homologués,
– maritime : respect des règles nationales et internationales de navigation,
– aérien : réglementation sur du survol des agglomérations, habitations du pays par les aéronefs et drones
Personne ne comprendrait qu’il soit permis d’introduire des armes au Bénin, ou qu’il soit permis à n’importe qui de survoler sa propriété avec un hélico.
L’état est dans son rôle lorsqu’il étend la sécurité publique au cyberespace. Il y a des modèles de téléphones qui ont explosé à la figure de leur propriétaire ou des médicaments d’origine douteuse qui ont empoisonné des personnes qui croyaient se soigner.
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(@_@)
dès qu’un espace investit la sphère publique, il doit être régulé par l’Etat. C’est son rôle.
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(@_@)
Absolument d’accord.
bureaucratie…

Le Bénin bureaucrate ? N’importe quoi.