Le Bénin, pays à « régime hybride »: ce n’est pas nouveau assure Houngbadji

7 réponses

1. 

   Aziz

   28/11/2021

   Et..de dire..moi..aziz..je ne reconnais..ni le parlement.de sang illégal..ni le..pr de la ruse.et de rage..cynique..illégal.et illégitime

   Répondre
2. 

   Gombo

   28/11/2021

   2. « Organisation d’élection non inclusive.
   Le multipartisme intégrale est un autre exemple palpable de copier-coller de principes occidentaux par nos pseudos intellectuels sans discernement ; toute chose qui nourrit beaucoup de gens à divers niveaux sans avoir un impact positif sur l’ensemble du pays. Avec plus de 200 partis, il était primordial d’assainir la classe politique et y imposer des règles plus strictes de création et de gestion de partis politiques. Que certains ont choisi de ne pas se conformer aux nouvelles règles, est un choix à assumer » dit le pseudo révolutionnaire et pseudo nationaliste qui utilise le nom de « Che ».
   J’ai déjà indiqué l’ironie qu’il y a a critiquer le prétendu copier coller, quand soi même on se réfère a l’étranger pour étayer son argumentation. Les libertés et droits démocratiques ne sont pas un privilège réservé aux seuls pays riches, pour lequel les africains ne seraient pas murs. Cette condescendance méprisante exprimée par Chirac et d’autres dans un passe récent est reprise par nos nationalistes du dimanche pour justifier les tripatouillages constitutionnels de tous bords. On érige en règle le relativisme moral, ou il n’y a plus ni bien , ni mal, chacun définissant ses critères de bien, ni liberté, ni oppression, ni démocratie ni autocratie . Ce relativisme moral abject autorise a se créer des lois électorales sur mesure, des constitutions sur mesure pour faire main basse sur la vie politique puis economique.
   Sur le fonds, cette histoire de 200 partis est une vaste escroquerie intellectuelle, consistant a accuser son chien de rage afin de le noyer. D’abord il n’y a jamais eu 200 partis. Ensuite il n’y a jamais eu plus d’une douzaine de partis representes a l’assemblee nationale au grand maximum ( souvent une ½ douzaine).
   Avant Talon il y avait un charte des partis au Benin. Si on voulait vraiment s’attaquer au probleme des micro-partis crees pour se donner un fonds de commerce, il suffisait d’appliquer cette charte et donner aux partis existant une période pour se mettre en regle ou être dissous. Au lieu de cela on verra violer ses propres lois a peine votees, les manipuler jusqu’à avoir le resultat voulu, c’est-à-dire un parti unique de godillots a sa solde. Dans le même ilencouragera voire sucscitera la creation de partis croupions comme Moelle et autres Front pour faire illusion. Les seuls résultats tangible de la soit disant reforme du système partisan sont les violences electorales et les morts, outre le partage des deniers publics aux entrepreneurs politiques comme Amoussou Bruno et autres .

   3. « les poursuites judiciaires contre plusieurs journalistes et blogueurs
   Le professionnalisme doit régner en tout métier. Bien que je ne suis pas pour l’emprisonnement de journalistes, je souhaite que nos hommes et femmes de plume cessent de pondre des articles farfelus, diffamatoires et même sans aucune source fiable. Les cas sont légion. Il faut simplement être aveugle pour ne pas voir.
   Dans un pays ou les règles élémentaires de vie en société ne sont pas respecter, ou le respect des lois que nous nous sommes adoptées, il est indispensable d’imposer de la rigueur. Ceci est propre à notre société. » écrit encore notre nationaliste égaré.
   On croit rêver quand on lit de telles balivernes sur le soit disant professionnalisme de la presse pour justifier le bafouement de la liberté de presse. Ceci dans un journal qi a été interdit pendant 3 ans, en dépit d’une décision de justice de la cour d’appel, décision exécutoire (nonobstant pourvoi en cassation).
   Voici un pays – le Benin de la « rupture » ou le procureur fait emprisonner un journaliste pour avoir transcrit ses propos ( qu’il ne nie pas avoir tenu !). Un autre journaliste de la presse économique est détenu puis traine de procédure en procédure devant la CRIET pour avoir commis le crime « économique » – a moins que ce ne soit encore le terrorisme- de questionner les donnes chiffrées du ministre des finances ! Faut il rappeler la fermeture de la radio privée Soleil FM. Faut il des yeux pour voir les tracasseries imposées a Sikka TV exclue du bouquet Canal Plus de Bolloré . L’exemple du professionnalisme qu’on veut nous donner est probablement celui des unes de journaux identiques reprenant mot pour mot les notes de la cellule de propagande du clan

   Répondre
3. 

   Gombo

   28/11/2021

   « Se référer a des rapports pondus par des gens sur la base des règles propres à leur société pour nous évaluer, est une pure erreur car il n’y aucun système démocratique universel. Le faire, serait de valider cette tendance à vouloir imposer au monde une vision unique… » conclut celui qui poste comme « Che »
   LE DOUBLE LANGUAGE EST LA SPECIALITE DES KLEBES DU CLAN AU POUVOIR.
   D’un côté, ce pouvoir nous abreuve de communiques du FMI, de la banque mondiale, de toutes la agences de notation dont les analystes viennent an vacances au Benin pour nous faire croire que tout va bien au Benin. Nos nationalistes du Dimanche ne trouvent rien a redire a cette propagande.
   Mais que quelqu’un s’aventure a jeter un faisceau de lumière sur la régression sociale, la destruction systématique et méthodique par le clan au pouvoirs des droits et libertés conquises dans le sang, alors on invoque le relativisme moral. Démocratie et Autocratie, pas de différence puisqu’il n’ y a pas « aucun système démocratique universel ».
   Mais n’avons-nous pas une constitution ? Cette constitution ne dit elle pas en son préambule « Réaffirmons notre attachement aux principes de la démocratie et des Droits de l’Homme, tels qu’ils ont été définis par la Charte des Nations Unies de 1945 et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples adoptée en 1981 par l’Organisation de l’Unité Africaine, ratifiée par le Bénin le 20 janvier 1986, et dont les dispositions font partie intégrante de la présente Constitution et du droit béninois et ont une valeur supérieure à la loi interne «
   Le régime dit de la rupture avec l’aide de klebes de tous bords, a entrepris la destruction systématique du fragile édifice démocratique en cours de construction dans notre pays. A sa place, il tente d’instaurer une autocratie, emprisonnant opposants -comme Aivo- sous les prétextes les plus ridicules, contraignant ceux qu’il n’a pu emprisonner -comme Ajavon- a l’exil, écartant d’autres -comme Zinsou- des élections en utilisant des procès défiant toute règle de preuve, fabriquant des crimes pour emprisonner adversaires -comme Metognon- , utilisant l’appareil judiciaire pour écarter ceux qui -comme Atao- lui faisaient de l’ombre, arrêtant l es poursuites une fois les résultats cyniquement obtenus. Dans cette entreprise de destruction des maigres atouts démocratiques du Benin, ce pouvoir a souille une bonne partie du corps judiciaire, installe un parlement godillot . Quelque soit la longueur de la nuit, le jour finit par se lever…

   Répondre
4. 

   Gombo

   28/11/2021

   3. « les poursuites judiciaires contre plusieurs journalistes et blogueurs
   Le professionnalisme doit régner en tout métier. Bien que je ne suis pas pour l’emprisonnement de journalistes, je souhaite que nos hommes et femmes de plume cessent de pondre des articles farfelus, diffamatoires et même sans aucune source fiable. Les cas sont légion. Il faut simplement être aveugle pour ne pas voir.
   Dans un pays ou les règles élémentaires de vie en société ne sont pas respecter, ou le respect des lois que nous nous sommes adoptées, il est indispensable d’imposer de la rigueur. Ceci est propre à notre société. » écrit encore notre nationaliste égaré.
   On croit rêver quand on lit de telles balivernes sur le soit disant professionnalisme de la presse pour justifier le bafouement de la liberté de presse. Ceci dans un journal qi a été interdit pendant plus de 3 ans, en dépit d’une décision de justice de la cour d’appel, décision exécutoire (nonobstant pourvoi en cassation).
   Voici un pays – le Benin de la « rupture » ou le procureur fait emprisonner un journaliste pour avoir transcrit ses propos ( qu’il ne nie pas avoir tenu !). Un autre journaliste de la presse économique est détenu puis traine de procédure en procédure devant la CRIET pour avoir commis le crime « économique » – a moins que ce ne soit encore le terrorisme- de questionner les donnees chiffrées du ministre des finances ! Faut il rappeler la fermeture de la radio privée Soleil FM. Faut il des yeux pour voir les tracasseries imposées a Sikka TV exclue du bouquet Canal Plus de Bolloré . L’exemple du professionnalisme qu’on veut nous donner est probablement celui des unes de journaux identiques reprenant mot pour mot les notes de la cellule de propagande du clan

   Répondre
5. 

   Gombo

   28/11/2021

   2. « Organisation d’élection non inclusive.
   <<Le multipartisme intégrale est un autre exemple palpable de copier-coller de principes occidentaux par nos pseudos intellectuels sans discernement ; toute chose qui nourrit beaucoup de gens à divers niveaux sans avoir un impact positif sur l’ensemble du pays. Avec plus de 200 partis, il était primordial d’assainir la classe politique et y imposer des règles plus strictes de création et de gestion de partis politiques. Que certains ont choisi de ne pas se conformer aux nouvelles règles, est un choix à assumer » dit le pseudo révolutionnaire et pseudo nationaliste qui utilise le nom de « Che ».
   J’ai déjà indiqué l’ironie qu’il y a a critiquer le prétendu copier coller, quand soi même on se réfère a l’étranger pour étayer son argumentation. Les libertés et droits démocratiques ne sont pas un privilège réservé aux seuls pays riches, pour lequel les africains ne seraient pas murs. Cette condescendance méprisante exprimée par Chirac et d’autres dans un passe récent est reprise par nos nationalistes du dimanche pour justifier les tripatouillages constitutionnels de tous bords. On érige en règle le relativisme moral, ou il n’y a plus ni bien , ni mal, chacun définissant ses critères de bien, ni liberté, ni oppression, ni démocratie ni autocratie . Ce relativisme moral abject autorise a se créer des lois électorales sur mesure, des constitutions sur mesure pour faire main basse sur la vie politique puis economique.
   Sur le fonds, cette histoire de 200 partis est une vaste escroquerie intellectuelle, consistant a accuser son chien de rage afin de le noyer. D’abord il n’y a jamais eu 200 partis. Ensuite il n’y a jamais eu plus d’une douzaine de partis representes a l’assemblee nationale au grand maximum ( souvent une ½ douzaine).
   Avant Talon il y avait un charte des partis au Benin. Si on voulait vraiment s’attaquer au probleme des micro-partis crees pour se donner un fonds de commerce, il suffisait d’appliquer cette charte et donner aux partis existants une période pour se mettre en regle ou être dissous. Au lieu de cela on verra violer ses propres lois a peine votees, les manipuler jusqu’à avoir le resultat voulu, c’est-à-dire un parti unique de godillots a sa solde. Dans le même temps on encouragera voire sucscitera la creation de partis croupions comme Moelle et autres Front pour faire illusion. Les seuls résultats tangibles de la soit disant reforme du système partisan sont les violences electorales et les morts, outre le partage des deniers publics aux entrepreneurs politiques comme Amoussou Bruno et autres .

   Répondre
6. 

   Gombo

   28/11/2021

   Je profites de cet article pour répondre point par point a un post du denomme « Che » sur le meme sujet parce qu’il s’agit de notre pays pris en otage par un clan mafieux cherchant a se refaire une santé financière sur le dos de notre peuple et sa’ assurer ne mai durable et complète de notre économie et on ne peut accepter que cette liquidation de notre patrimoine politique et économique soit glorifiée sous un vernis nationaliste.
   1. Suppression de droit de grève :
   « En Allemagne, le droit de grève est interdit aux fonctionnaires. En Grande-Bretagne, ce droit est limité. Au Canada comme aux USA, dans le secteur public, bien que ce droit est reconnu et admis, le gouvernement dispose d’une loi qui une fois invoquée oblige les grévistes à retourner immédiatement au travail. Dans le secteur privé, seule les syndicats ont le droit d’appeler à une grève. Or les compagnies privées usent toute les influences pour empêcher la création de syndicats dans les entreprises. Toute personne militant pour sa création subit toute sorte d’harcèlement allant jusqu’au licenciement. » dit le « Che ».
   Il est symptomatique que nos nationalistes et révolutionnaires de salon justifient la privation des libertés et droits démocratiques au Benin par le recours à des exemples étrangers. Au surplus ils mélangent tout dans le but de semer la confusion. On parle de régression sociale au Benin, c’est-à-dire que des libertés et droits démocratiques sont supprimés.
   En Allemagne la limitation du droit de grève des fonctionnaires est inscrite dans la constitution, les fonctionnaires faisant serment de loyauté au gouvernement, et tous les employés de l’état ne sont pas fonctionnaires. Au Benin, c’est le contraire le droit de grève étant inscrit dans la constitution ( art 31 de la constitution de 1990). Au Benin d’avant la l‘arrivée de l’autocratie, comme aux USA, en France, au Canada et dans presque tous les pays, le gouvernement peut procéder a des réquisitions en cas de nécessité du service public. Mais nos autocrates soutenus par les révolutionnaires de salon ont chois de retirer le droit de grève en limitant le nombre de jours de grèves a 3 jours. Et le chef du clan se couvrira de ridicule devant les patrons allemands en présentant cet anachronisme social come un atout d’attractivité pour les investissement directs étrangers
   Contrairement aux suggestions de notre « Che » de la régression sociale, en Angleterre, le droit de grève n’est pas limite. Ce que Thatcher a introduit, c’est la forme de la consultation des salariés ( bulletin secret au lieu d’assemblée générale) et limitation de la taille des piquets de grève.
   La question clé qui fonde la caractérisation de réactionnaire et anti-démocratique justement accole a la clique au pouvoir chez nous, c’est la régression démocratique, caractérisée par la suppression de droits et libertés démocratiques existants.

   Répondre
7. 

   OLLA OUMAR

   27/11/2021

   Et ça doit cesser😠😠😠😠

   Répondre