,

Snoop Dogg: nouvelle accusation d’agression sexuelle contre la star du rap

Encore une fois, le rappeur et directeur de maison de disques, Snoop Dogg est confronté à une poursuite judiciaire relative à des agressions sexuelles. Quant à la plaignante, il s’agit d’une femme qui autrefois, avait accusé cet homme de ces mêmes faits. Elle a porté une nouvelle plainte quelques mois après avoir retiré ses allégations précédentes.

En février, la présumée victime avait poursuivi Snoop Dogg. Elle l’accusait de l’avoir forcée à lui faire une fellation dans son studio d’enregistrement en 2013. Selon ses dires, Snoop Dogg avait l’intention de la menacer, l’intimider et la contraindre à ne pas exercer ses droits constitutionnels à s’engager dans une médiation via une publication Instagram à peine voilée traitant du procès initial.

Cependant, la femme et son équipe juridique ont de nouveau soumis le procès devant un tribunal de district de Californie le mercredi 20 juillet. Cette nouvelle plainte comprend les allégations initiales d’agression sexuelle et de batterie sexuelle, ainsi que de nouvelles allégations de diffamation.

‹‹Le procès relancé affirme également que Snoop a menacé de « poursuivre une action en justice malveillante » contre la femme pour « des dizaines de millions de dollars » en représailles. En outre, l’« effrayant » et « l’intimidant », il aurait autorisé son porte-parole à révéler son identité dans une déclaration publiée après le dépôt Initial, d’après nos sources.

Le procès pour agression sexuelle de la femme découle d’une rencontre avec Snoop Dogg et son associé l’évêque Don « Magic » Juan après le spectacle du rappeur à Anaheim, en Californie, en 2013. La femme affirme que Juan l’a ramenée à la maison après le concert et a forcé son pénis en elle quand elle se réveilla sur son canapé.

Elle a affirmé que Juan l’avait ensuite emmenée au studio de Snoop pour auditionner pour être l’une des « filles météo » de sa série YouTube GGN. Snoop est entré, « se tenant avec son entrejambe face au visage du demandeur, tandis que le demandeur était aux toilettes » et l’aurait forcée à lui faire une fellation. En mars, le rappeur de 50 ans et son équipe juridique ont déposé une requête en rejet de l’action en justice, arguant que la femme n’avait pas formulé de réclamation légitime contre lui en vertu des règles fédérales de procédure civile et n’avait fourni « pratiquement aucun fait à l’appui ».

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *