Elon Musk accuse les institutions d’avoir retourné sa fille transgenre contre lui

Le milliardaire américain Elon Musk s’est récemment exprimé sur son enfant transgenre Vivian Wilson. Cette dernière, avait fait savoir plusieurs mois plus tôt, qu’elle ne voulait plus avoir de lien avec son père. Dans une interview accordée au média britannique Financial Times, l’homme le plus riche du monde a accusé les institutions d’avoir retourné sa fille contre lui. Pour le patron de Tesla, les universités ainsi que les écoles d’élite sont responsables du fait que sa fille et lui ne se parlent plus. D’après Elon Musk, « c’est du communisme à part entière. . . et un sentiment général que si vous êtes riche, vous êtes mauvais ». Par ailleurs, Elon Musk a confié s’entendre avec ses autres enfants.

Il avait officiellement changé de sexe en juin

« Cela peut changer, mais j’ai de très bonnes relations avec tous les autres. Je ne peux pas tous les gagner » a-t-il ajouté. Notons que Vivian Wilson est biologiquement né avec un sexe masculin, sous le nom de Xavier Alexander Musk. Ce dernier a officiellement changé de sexe au cours du mois de juin dernier. Selon les informations de la presse américaine, un tribunal du comté de Los Angeles avait accédé à la demande de Xavier Musk qui s’appelle désormais Vivian Jenna Wilson. Selon un extrait du document judiciaire cité par le média NBC News, « comme il n’y a pas d’objections, la demande de changement de nom, de changement de sexe et d’un nouveau certificat de naissance est approuvée ».

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Pour rappel, Vivian Wilson avait pris la décision de changer son nom de famille pour celui de sa mère, l’écrivaine américaine Jenna Wilson. La jeune fille avait entrepris les démarches légales afin de changer son patronyme, toujours dans le mois de juin, parce qu’elle ne veut plus rien à voir avec son père biologique. Selon les informations du média britannique SkynewsXavier Alexander Musk a déposé la requête pour le changement de nom et le nouveau certificat de naissance reflétant sa nouvelle identité, auprès de la Cour supérieure du Comté de Los Angeles à Santa Monica. Selon les informations relayées par le média britannique, Reuters, le demandeur « ne vi[t] plus ou ne souhaite plus être lié à [s]on père biologique de quelque manière que ce soit ».

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