Depuis le 7 octobre 2023, date à laquelle des centaines de personnes ont été tuées ou kidnappées à la suite d’une offensive des forces du Hamas palestinien sur le sol israélien, les deux parties sont en guerre. Une guerre qui aura causé la mort de dizaines de milliers d’individus et forcé des millions de personnes à être déplacées.
Face aux terribles images d’un conflit qui dure depuis trop longtemps, les autorités internationales tentent de calmer le jeu afin qu’un terrain d’entente soit trouvé entre le Hamas et Israël, de façon à ce qu’un cessez-le-feu soit rapidement signé. Problème, les discussions sont longues et complexes. À ce jour, aucun accord n’a été trouvé et la communauté internationale s’attend à ce que cette guerre perdure.
L’Égypte se positionne de manière très claire
Certains pays tentent cependant d’user de toute leur influence, notamment au niveau régional, pour aider comme ils le peuvent. C’est le cas de l’Égypte, qui en plus de s’imposer comme un important médiateur, profite de sa proximité avec la bande de Gaza, avec qui elle partage une frontière commune, pour fournir une assistance humanitaire aux personnes qui en ont le besoin.
Mais de manière très claire, le gouvernement égyptien a affirmé qu’elle n’accepterait absolument aucune présence militaire israélienne à cette frontière et tout le long du couloir stratégique de Philadelphie (nom donné à cette bande de terre de 14 kilomètres qui couvre la totalité de la frontière entre la banque de Gaza et l’Égypte). Une information relayée par certains médias locaux, comme Al-Qahera News.
L’Égypte, voix régionale forte
Pas vraiment une surprise toutefois. Depuis quelques semaines, Le Caire s’est imposée comme une voix forte et critique à l’encontre du gouvernement israélien et de sa politique. L’Égypte a plusieurs fois appelé à ce que la communauté internationale accentue d’ailleurs la pression sur le gouvernement Netanyahou, pour qu’une paix durable soit trouvée.
Laisser un commentaire