Le sous-sol marocain continue d’attirer l’attention des acteurs du secteur gazier. Ces dernières années, le royaume a multiplié les annonces de découvertes prometteuses, suscitant l’intérêt de plusieurs entreprises internationales. Mais dans un paysage où les équilibres changent vite, certains quittent discrètement la scène, pendant que d’autres s’y installent plus solidement. C’est le cas de la compagnie britannique Chariot, qui renforce sa position sur le champ offshore d’Anchois, au large de Larache.
La société gréco-britannique Energean, active dans la région depuis quelque temps, a récemment finalisé son retrait du projet gazier d’Anchois. Elle a cédé l’intégralité de sa filiale marocaine, qui détenait 45 % du permis Lixus Offshore et 37,5 % du permis Rissana Offshore. Une décision qui s’inscrit dans une stratégie globale de recentrage, alors que l’entreprise redéploie ses ressources vers d’autres projets jugés plus prioritaires. Ce retrait pourrait être interprété comme un revers, mais pour Chariot, c’est au contraire une opportunité.
Avec cette opération, la compagnie britannique monte à 75 % de participation dans les deux licences et devient opérateur principal du projet Anchois. Loin de freiner ses ambitions, Chariot semble vouloir accélérer le développement du champ d’Anchois, situé sur le permis Lixus Offshore. Trois puits ont déjà été forés, confirmant la présence de réserves significatives. Selon des sources proches du dossier, la compagnie reste résolument engagée à poursuivre les travaux, avec l’objectif de faire du site un moteur pour l’approvisionnement gazier national et régional.
La présence accrue de Chariot peut également rassurer les partenaires institutionnels et financiers qui suivent de près l’évolution du secteur gazier marocain. La compagnie s’est déjà illustrée par son pragmatisme et sa capacité à sécuriser des fonds pour financer les étapes critiques de ses projets. Si certains investisseurs comme Energean préfèrent se désengager, d’autres y voient une opportunité de prendre une position dominante sur un marché prometteur mais encore peu développé. Le Maroc, avec ses côtes étendues et ses indices géologiques positifs, reste un terrain d’exploration prisé, en particulier dans un contexte mondial de transition énergétique.




j’invite juste les sujets du maroc a aller vérifié le tuite du pdg
Hé les gars du makhzen, continuez à donner des rêves … éveillés à vos sujets..
Mais tu ne comprends rien au problème ni toi ni ceux qui ejaculent des qu’ils peuvent taper sur le Maroc. Le gaz et le pétrole n’est qu’un des multiples aspects de notre économie, vient visiter le Maroc et tu comprendras.,.si tu en as vraiment l’envie.
hhhhhhhh, ça fait vraiment rire, médias de propagande, comme les autres de makhzen,juste pour endormir davantage, les sujets marocains
ah ah le maroc aurait un gisement de pétrole 🤣🤣🤣 ça serait depuis mais certainement un tout petit gisement qui ne peut pas satisfaire de quoi être rentable puisque un investisseur c’est retiré de ce gouffre financier juste des gouttelettes à peine pour remplir un réservoir d une mobilette qui pollue au maroc.
wait and see