Le projet de réhabilitation et de construction des lycées techniques au Bénin suit son cours malgré les lenteurs observées sur le terrain. Invité sur Daabaaru TV, ce week-end, le Secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji, a tenu à clarifier la situation, tout en rassurant sur le démarrage imminent des travaux.
Au cœur des ambitions éducatives du gouvernement, les lycées techniques, agricoles et scientifiques visent à transformer en profondeur l’offre de formation au Bénin. Trente établissements techniques agricoles, des écoles de métiers et des lycées scientifiques sont prévus pour renforcer l’enseignement professionnel. Objectif affiché : faire passer à terme la proportion des apprenants dans ce système à 70 %, contre une minorité aujourd’hui.
Selon Wilfried Léandre Houngbédji, le financement de ce vaste chantier est déjà acquis. « Pas moins de 400 milliards de francs CFA ont été mobilisés pour la mise en œuvre du programme », a-t-il rappelé, en soulignant la volonté du gouvernement de garantir la durabilité et la qualité des infrastructures.
Cependant, la mise à disposition des sites a retardé le démarrage effectif des travaux. Certaines communes, sollicitées pour libérer de vastes espaces – parfois jusqu’à 1 000 hectares –, ont eu du mal à répondre favorablement. Cette contrainte foncière, bien qu’en voie de résolution, n’est pas l’unique facteur de blocage.
Le porte-parole du gouvernement a aussi évoqué la rigueur du processus de sélection des entreprises attributaires. Des vérifications ont permis d’identifier des soumissionnaires peu crédibles, obligeant les autorités à reprendre certaines procédures. « On ne veut pas confier ces chantiers à des entreprises sans expérience avérée. Ce programme doit être exemplaire », a insisté Wilfried Léandre Houngbédji.
Malgré ces obstacles, le gouvernement reste confiant. « Les études sont prêtes, les marchés ont été lancés, et les premiers chantiers seront bel et bien enclenchés en 2025 », a-t-il annoncé, tout en rappelant que la dimension humaine du projet – notamment la formation et l’encadrement des futurs formateurs – reste une priorité.
Gouverner c’est prévoir . Avoir un plan de développement en aval et en amont. Ce dont on parle est inscrit en noir / blanc dans le programme d’action du gouvernement ( PAG).
En quoi ça dérange que ce projet dont le financement est bouclé se fasse aujourd’hui, demain ou dans un futur proche ???
Posez-vous la question. Bande de cons.
Celui qui n’a pas le goût de l’absolu se contente d’une médiocrité tranquille disait Paul Cézanne.
Cherchez l’erreur
Voyez-vous vous êtes rattraper par vos propres mensonges !!! pourquoi ton patron se justifie à travers vous Léandre Houngbedji ? puisque l’état c’est une continuité, ce qu’il n’a pas pu faire d’autres le feront n’est-ce pas !!!
En attendant qu’il rend le tablier c’est de ça qu’il s’agit tout simplement !!! dixit Dr Doss
Ce que je retiens ici ce soir est que notre fameux Dr Doss a trouvé mieux que Google traduction.
Je salue l’artiste.
Petit ouemenou..dr dossou zannou..
Une question..es tu sûr de décrocher ton certificat cette année..???
On va plus t accepter dans notre forum….
Je te vois bien.. capturé et amené au nord.. pour cultiver le coton..et là tu seras utile
Dès le début de ces annonces tapageuses, j’ai eu à donner ici avec quelle ressources humaines ce gouvernement veut réaliser toutes ces choses en si peu de temps???? Nous savons depuis des années, que la consommation des crédits pose toujours problème au Bénin.
Le manque de lucidité sur les réelles capacités des acteurs économiques dans nos pays, font qu’il y a toujours des promesses irréalistes.
Mais souvent, c’est par manque de capacité à appréhender les choses dans leur réalité ou par démagogie tout simplement.
Alors que c’est toujours mieux d’être dans le réel, même si on arrive à faire peu et si c’est bien fait, c’est encore mieux que de promettre beaucoup sans pouvoir rien faire.
lire: j’ai eu à demander
Le nivellement par le bas !!! L’intelligence est en voie de disparition voir d’extinction.
Malheureusement.
Cherchez l’erreur
Notre ami @Sonagnon saute d’une conviction à une autre comme une grenouille sur des nénuphars.
Cherchez l’erreur
Il ne s’agit pas de conviction ici, mais de réalité factuelle que le pouvoir de la rupture ne peut pas démentir.
Un fragrant délit de démagogie et d’incapacité à traduire dans les faits un engagement formel.
Je me souviens comme hier, le show médiatique du père de la rupture en personne sur ces lycées. A la fin du mandat, le résultat est décevant. On ne veut pas connaître les problèmes, il est payé pour trouver les solutions. Nous sommes face à un échec ni plus ni moins.
Mais qui te fait croire que c’est la fin de son mandat ??? Si on se réfère évidemment à la constitution de notre pays dont il est le garant. Mais on n’a vu récemment un président de la République se muer en président du conseil des ministres . Pourquoi d’une façon ou d’une autre ça ne pourrait être le cas dans notre pays sans toucher à la constitution ??? Prenez garde à vos propos puisque rira bien , qui rira le dernier.
Tout le drame réside dans les annonces triompales et tapageuses qui ont été faites par le Pr lui-même. Le Bénin n’a pas les moyens de cette politique triomphaliste !!!
Allons doucement !
Qui écoute encore ces gens dans le pays…
Le peuple attend…les renvoyer aux champs de coton et de soja..pour les plus chanceux
Quant à ceux qui ont commis des fautes…il reviendra aux membres du bureau politique du comité central du parti dont..je suis membre…de décider de leur sort…
Pourquoi pas..les mettre en première ligne contre les terro..