À l’approche du 65e anniversaire de l’accession du Bénin à l’indépendance, prévu pour le 1er août 2025, le Cadre de concertation des forces politiques de l’opposition s’est exprimé sur le contexte et les attentes autour de cette commémoration, la dernière sous le mandat du président Patrice Talon. C’était lors d’une conférence de presse tenue le mardi 22 juillet au siège du parti « Les Démocrates » à Cotonou.
Dans une déclaration lue par son porte-parole Antoine Guédou, le Cadre de concertation estime que cette célébration devrait être « l’occasion d’un véritable rassemblement des filles et fils du Bénin autour d’un idéal commun fédérateur et [provoquer] une réconciliation de la nation avec elle-même ».
L’opposition appelle le chef de l’État à poser des « gestes utiles », parmi lesquels figurent, selon ses mots, « la libération des détenus politiques, le retour des exilés politiques, le dialogue politique et, dans la mesure du possible, une assise nationale ». Pour le Cadre, de telles initiatives contribueraient à faire de cette commémoration un moment marquant, en phase avec « la volonté du peuple » et susceptible de fédérer l’adhésion populaire.
Sur le climat politique…
Le Cadre de concertation attire par ailleurs l’attention sur le contexte qu’il juge préoccupant dans lequel se tiendra cette commémoration. Selon les responsables du cadre, les Béninois font face à des « inquiétudes grandissantes ». Le porte-parole déplore « l’étouffement de toute voix dissonante qui se préoccupe de la mauvaise gouvernance ».
Le Cadre pointe également des restrictions des libertés fondamentales, dénonçant leur réduction à « leur plus simple expression». Le porte-parole a cité notamment les cas de Julien Kandé Kansou, Steve Amoussou et Comlan Hugues Sossoukpè. Il a par ailleurs estimé que « le maintien en l’état du code électoral, décrié par la quasi-totalité des forces vives de la nation », ainsi que « la répression et le refus de concertation », pourraient compromettre la tenue d’élections jugées libres, équitables et transparentes. 🔥 « Restez branché à l’actu béninoise sur notre chaîne WhatsApp officielle ! » en cliquant sur ce lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x




« la libération des détenus politiques, le retour des exilés politiques, le dialogue politique et, dans la mesure du possible, une assise nationale »
Il faut cette opposition arrête de quémander!!!
Pendant plus de 9 ans déjà avez vous l’homme fait preuve d’empathie une seule fois???? La politique c’est la capacité de créer un rapport de force en sa faveur, pas en faisant le salamalec.
Et surtout il faut apprendre à connaitre qui on a en face. Si on se trompe de diagnostic, on va se tromper de stratégie et l’échec sera ainsi assuré.
Ce n’est pas le moment de négocier ou de demander quoi que ce soit, c’est le moment de considérer la libération des détenus politiques, le retour des exilés politiques, le dialogue politique et l’assise nationale, comme les premières mesures dès le changement de régime en 2026.
Qui peut penser un seul instant qu’on puisse confier ce pays à ces gens-là ??? Des incompétents notoires qui font juste la politique pour se trouver une place au soleil. Entre deux maux ; il faut choisir le moindre. Ce n’est pas parce que Talon est mauvais que ces gens d’en face , des opportunistes que nous connaissons tous sont devenus bons. Avec eux ; ce pays redescendra sous terre. J’avoue.
Cherchez l’erreur.
« la libération des détenus politiques, le retour des exilés politiques, le dialogue politique et, dans la mesure du possible, une assise nationale ».
Cette réthorique des fainéants de cette opposition de complaisance me déroute. Ce discours est fatiguant et ridicule. Ce cadre de concertation devrait réfléchir pour proposer un projet alternatif au peuple Béninois afin de mettre en œuvre les doléances incongrues. Ces gens-là n’ont rien à proposer à ce peuple et il serait étonnant que le pouvoir change de main en 2026. Une opposition médiocre. Que nos professionnels de la politique se préparent à une retraite politique et qu’une nouvelle génération de politicien prenne la relève pour proposer une alternance crédible en 2032. 2026 est déjà derrière nous.
Ce que je crois.
Cherchez l’erreur.