Dans les pays du Maghreb, la culture céréalière occupe une place centrale dans l’organisation agricole et la stabilité alimentaire. Les blés et l’orge y représentent non seulement une base de l’alimentation quotidienne, mais aussi un levier économique pour les zones rurales. À l’heure où les circuits mondiaux de distribution deviennent de plus en plus incertains, la capacité à produire localement prend un relief stratégique. Moissonner assez de grains pour limiter la dépendance aux cargaisons étrangères devient un impératif aussi bien économique que politique.
Les nouvelles en provenance de Tunisie suscitent un réel intérêt. Les derniers résultats de la saison en cours annoncent des volumes récoltés rarement atteints, signe d’une année agricole particulièrement fructueuse.
Une moisson au-dessus des attentes
D’après les données partagées le 5 juillet par l’analyste Anis Ben Rayana, le pays aurait déjà engrangé 9,049 millions de quintaux de céréales, récoltés sur plus de 670 000 hectares. Ce chiffre correspond à une part importante des surfaces traitées, avec un taux de récupération estimé entre 65 et 70 %. Si la météo ne joue pas de mauvais tours et que le transport suit, la campagne pourrait se conclure sur un total approchant les 11,5 millions de quintaux.
Cette performance est le fruit de plusieurs facteurs : des conditions climatiques globalement favorables pendant les phases décisives, une meilleure coordination logistique dans les zones de production, et une mobilisation efficace des ressources humaines sur le terrain. Résultat : une dynamique positive qui permettrait d’amortir l’impact des marchés internationaux souvent instables.
Moins de cargaisons importées, plus de marge de manœuvre
Une telle performance ne se limite pas à une bonne nouvelle pour les silos. Elle peut aussi représenter une respiration pour l’économie tunisienne. Réduire les achats de blé ou d’orge à l’étranger permettrait de soulager les caisses publiques et de réorienter les dépenses vers d’autres priorités nationales.
Cette récolte exceptionnelle souligne également les effets positifs des ajustements opérés ces dernières années dans les politiques agricoles : soutien aux producteurs, rationalisation de la collecte, anticipation des besoins logistiques. Les autres pays maghrébins, confrontés à des défis similaires, pourraient tirer des enseignements de cette expérience tunisienne.
En définitive, cette saison 2025 s’annonce comme une étape marquante. Elle démontre que, lorsqu’un alignement favorable de facteurs naturels et humains se produit, la région est capable de faire face à ses besoins de manière autonome. Ce n’est peut-être pas encore l’autosuffisance, mais c’est un pas important vers une souveraineté alimentaire plus affirmée.



chante le coq chante
pauvre marocain
j’ai pitié de vous
Malheureusement, le peuple et l’État marocains restent derrière le cannabis et la drogue comme première source de revenus.
je comprends la frustration de ceux qui avec du gaz et pétrole en quantité font la queue pour la queue sans meme savoir s’ils vont trouver du lait ou une batterie de voiture à acheter.
les algériens ne méritaient pas cela et feraient bien de revenir vers le Maroc qui les a aider à devenir un pays a défaut d etre une nation
vous parlez de queue pour du lait et batterie c’est pathétique ne parlez pas pour dire des bêtises. Le lait est disponible en quantité et Dieu merci on ne se plaint pas alors cessez de ressasser le meme disque rayé
Tu évoques un aspect assez sensible de l’histoire de la guerre de libération de l’Algérie. Effectivement, pendant cette période, le Maroc a joué un rôle ambigu. Bien qu’il ait théoriquement soutenu l’indépendance de l’Algérie, certains rapports historiques et témoignages affirment que le royaume chérifien a eu des relations assez complexes avec la France coloniale, et que certains pilotes marocains formés par les Français ont effectivement participé à des missions militaires contre les combattants algériens.
Les motivations derrière cette coopération peuvent être attribuées à plusieurs facteurs : la pression géopolitique, des choix stratégiques ou des tensions internes au sein du royaume. Cela a conduit à une situation où certains éléments au sein du régime marocain ont pu soutenir indirectement les actions françaises, voire directement, en participant à des frappes contre les bases de la résistance algérienne.
C’est un chapitre encore délicat, souvent sujet à débat et réévaluation au fil des ans, surtout avec les changements politiques et diplomatiques. Tu as des éléments ou des sources spécifiques en tête que tu aimerais approfondir sur ce sujet ?
Tu souviens des événements difficiles que le Maroc a traversés, où des injustices ont affecté de nombreuses personnes, en particulier les plus vulnérables. L’impact des politiques de développement, les expulsions forcées et les pertes de biens ont souvent eu des conséquences dramatiques pour des milliers de familles marocaines.
Le contraste entre les situations de ceux qui possèdent des ressources, comme les producteurs de cannabis, et ceux qui luttent pour les besoins les plus élémentaires comme l’eau ou la nourriture, souligne une inégalité croissante. Ce type de réalité n’est pas isolé et reflète des dynamiques sociales complexes où l’accès aux ressources, le pouvoir politique et l’intervention de certaines forces en place exacerbent la pauvreté et la marginalisation.
Tu fais référence à plusieurs événements, dont les expulsions et la confiscation des biens, qui ne font qu’ajouter à ce sentiment de frustration chez les citoyens. C’est une situation difficile à comprendre, surtout quand on pense à l’histoire de la lutte du peuple marocain pour l’indépendance. Il y a des parallèles à tracer avec d’autres formes de résistance et de répression, qu’elles soient locales ou à plus grande échelle.
Que penses-tu de ces événements et de leur impact sur les jeunes générations au Maroc?
Dis nous pourquoi de toi roi jusqu’au dernier des marocains du Haouz TOUS vous suppliez l’Algérie d’ouvrir la frontière ???
Pourquoi vous cultivez le Hashish et en êtes le 1er producteur Mondial ( chiffres de l’ONU : 50.000 tonnes / An…)…
vous exportez vos femmes, non ???
je crois que le Parisien fait semblant d’oublier qu’actuellement le leader Maghrebin en Agriculture toutes sortes confondues est bien L’Algérie et surtout en se qui concerne le blé,allez faîte un effort et mettez de côté le conflit actuel entre nos deux pays et dites la vérité sur les efforts consentis par l’Algérie dans le secteur céréalier
demandez à vos concitoyens travaillant en Algérie comment vivent les Algériens et l’abondance des produits alimentaires
vous parlez de pénurie qui ont existé les années passées mais maintenant la production de ces produits couvre largement les besoins du pays et avec des prix a la porté des petites bourses et le surplus commence a être exporter vers l’étranger
donc arrêté de dire n’importe quoi ,vous si vous n’avez pas de pénurie mais la casi totalité du peuple ne peut se permettre d’acheter ces denrée de première nécessité par pauvreté
ignorant comme tu est quand viens voir de yeux les gens font la chaîne pour le batterie de voiture et du lait mais comme un perroquet tu aboit
merci mon « frère » sans vous on serait mort de faim ????TU T ES AU MOINS REGARDE DANS UN MIROIR. pour analyses les choses à leur juste valeur.
Tu souviens des événements difficiles que le Maroc a traversés, où des injustices ont affecté de nombreuses personnes, en particulier les plus vulnérables. L’impact des politiques de développement, les expulsions forcées et les pertes de biens ont souvent eu des conséquences dramatiques pour des milliers de familles marocaines.
Le contraste entre les situations de ceux qui possèdent des ressources, comme les producteurs de cannabis, et ceux qui luttent pour les besoins les plus élémentaires comme l’eau ou la nourriture, souligne une inégalité croissante. Ce type de réalité n’est pas isolé et reflète des dynamiques sociales complexes où l’accès aux ressources, le pouvoir politique et l’intervention de certaines forces en place exacerbent la pauvreté et la marginalisation.
Tu fais référence à plusieurs événements, dont les expulsions et la confiscation des biens, qui ne font qu’ajouter à ce sentiment de frustration chez les citoyens. C’est une situation difficile à comprendre, surtout quand on pense à l’histoire de la lutte du peuple marocain pour l’indépendance. Il y a des parallèles à tracer avec d’autres formes de résistance et de répression, qu’elles soient locales ou à plus grande échelle.
Que penses-tu de ces événements et de leur impact sur les jeunes générations au Maroc?
les Marocains ont toujours été des traîtres, depuis la nuit des temps. A voir la traîtrise de leur roi faite à notre glorieux révolté Al Amir Abdelkader, avec l’envahisseur français.
aucun ne enfreint la légalité internationale,un territoire non autonome le restera jusque au moment des propres habitants decident de l issue…Donc au Makhzen qu il arrêté sa propagande mensongere. il faut convaincre les sahraouis d abords sur la résilience de ses thèses de la prétendue autonomie ,et puis c est quoi cette autonomie c est une fuite en avant…comment pretende il ceci tout en acceptant la minorso a eloun capitale du sahara. le Makhzen n a pas mesure toutes les conséquences de sa decision d occuper le Sahara ,une guerre qui a fait plus de 33 000 soldats morts de 1976 a 1991 ,plus de 35% de son budget y dépense et sa continu….really No way….
….ce media nouvelle tribune est un service du Makhzen ,fait n importe quoi pour soigner l image sombre du Makhzen, de la propagande mensongère a l image de jeune Afrique et d autres médias tunisiens soutenus par la France neo coloniale…vous faites honte a la Tunisie wallah,quelle horreure…tfouh
aucun ne enfreint la légalité internationale,un territoire non autonome le restera jusque au moment des propres habitants decident de l issue…Donc au Makhzen qu il arrêté sa propagande mensongere. il faut convaincre les sahraouis d abords sur la résilience de ses thèses de la prétendue autonomie ,et puis c est quoi cette autonomie c est une fuite en avant…comment pretende il ceci tout en acceptant la minorso a eloun capitale du sahara. le Makhzen n a pas mesure toutes les conséquences de sa decision d occuper le Sahara ,une guerre qui a fait plus de 33 000 soldats morts de 1976 a 1991 ,plus de 35% de son budget y dépense et sa continu….really No way….
c’est du n’importe quoi bla bla bla….