L’évocation d’un Prix Nobel de la Paix pour Donald Trump a franchi une nouvelle étape à la Maison-Blanche, où le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, en déplacement officiel, a réagi avec diplomatie et prudence. Face à son interlocuteur américain, Faye a tenu à rappeler que l’attribution de cette distinction ne relevait ni d’un vote populaire ni d’une volonté politique unilatérale, mais bien d’un jury spécialisé. Cependant, il a souligné que les actions menées par l’ancien président, notamment en République démocratique du Congo, témoignent d’un certain activisme pour la paix et pourraient légitimement alimenter le débat sur sa candidature à ce prix prestigieux.
Soutiens africains en série autour de la table
Le président sénégalais n’était pas le seul à exprimer une forme de validation. Autour de lui, lors de cette rencontre multilatérale, quatre autres chefs d’État africains ont manifesté un appui clair à cette idée : Umaro Sissoco Embaló de la Guinée-Bissau, Mohamed Ould Ghazouani de Mauritanie, Brice Oligui Nguema du Gabon et Joseph Boakai du Liberia. Tous ont mis en avant des signaux positifs dans l’action diplomatique de Trump, y voyant un leadership utile à la stabilité du continent et des efforts visibles dans plusieurs zones de tensions. Cette unanimité rare lors d’un échange à la Maison-Blanche marque une ouverture inattendue entre des capitales africaines et l’ancien locataire du Bureau ovale.
Un prix Nobel, entre prestige, symboles et stratégie
Depuis sa création, le prix Nobel de la Paix reflète autant les espoirs de réconciliation que les rapports de force internationaux. D’un président américain à l’autre, il a souvent récompensé des démarches aussi symboliques que stratégiques. La candidature de Donald Trump, soutenue notamment par Benjamin Netanyahu, s’ajoute à une longue liste de propositions marquées par des enjeux politiques complexes.
Dans ce climat de rivalités et de repositionnements diplomatiques, le soutien exprimé par plusieurs chefs d’État africains, dont celui du Sénégal, montre que le continent entend désormais jouer un rôle actif dans les discussions internationales, au lieu d’en rester un simple spectateur.




puisque le monde et impassible et aveugle sur les atrocités sur gaza j’épouse suggère de créer le prix du meilleur genocidaire au monde et l’attribué a trump et son complice l’assassin des bébés et des enfants et des innocents et blessés dans ce monde de barbare
Je vote pour mais un des critères devrait être la « propreté ».
Je veux des génocides propres ! Pas de ces trucs dégueux et tout ça.
Le « couple » Bibi-Trump pour étrenner le prix, ça aurait de la g***