Starlink, le réseau satellite d’Elon Musk, promet une révolution numérique pour les zones isolées, offrant un internet haut débit là où les infrastructures terrestres font défaut. Pourtant, l’Afrique du Sud avait initialement interdit son déploiement, en raison de règles strictes exigeant 30 % de propriété noire dans les entreprises technologiques, une condition jugée inacceptable par SpaceX. Une situation qui avait d’ailleurs poussé Musk à accuser l’administration au pouvoir de « racisme » anti-blancs. La venue du président Ramaphosa à Washington avait d’ailleurs donné lieu à de curieux échanges au sein de la Maison-Blanche.
Ce blocage réglementaire privait le pays de cette technologie, Musk dénonçant des mesures qu’il qualifie de discriminatoires. Une impasse qui maintenait Starlink à l’écart de la première économie du continent et donc, d’un marché potentiellement hautement rentable pour une entreprise qui ne cesse d’innover (et qui a donc besoin de liquidités pour répondre aux besoins d’une population toujours plus connectée).
Un changement de cap réglementaire en perspective
Sous la pression des critiques et de la concurrence internationale, Pretoria semble prêt à revoir sa copie. Le Département des Communications examine près de 19 000 contributions publiques pour assouplir les règles de transformation économique. Le ministre Solly Malatsi a confirmé l’urgence de finaliser ces propositions avant de les soumettre au régulateur. L’objectif ? Permettre aux entreprises comme Starlink de répondre aux exigences via des programmes équivalents (actions, investissements sociaux) plutôt qu’une participation directe au capital. Une manière de contourner les interdictions initialement mise en place.
Des alternatives innovantes pour contourner l’impasse
Pour accélérer son implantation, Starlink mise sur des initiatives concrètes : l’entreprise propose d’équiper gratuitement 5 000 écoles, offrant ainsi un accès haut débit à 2,4 millions d’élèves. Une stratégie inspirée du secteur automobile, où des fonds dédiés avaient permis d’intégrer les communautés défavorisées sans céder de parts.
Une approche pragmatique et réfléchie, qui in fine, pourrait permettre d’avancer et débloquer une situation considérée comme dans l’impasse jusqu’alors… Alors même que la concurrence devient de plus en plus féroce sur le marché. En effet, Amazon a confirmé l’arrivée prochaine d’Amazon Kuiper sur le marché africain. Une nouvelle solution américaine, qui fera certainement le bonheur de l’administration Trump.




Pendant ce temps on tergiverse dans nos pays. Pourquoi n’autorise donc pas l’installation et la généralisation de cette technologie révolutionnaire pour réduire le coût et couvrir la totalité de nos territoires ??? Les politiques en Afrique ne visent pas le bien être des populations mais plutôt servir des intérêts financiers mafieux , sordides et égoïstes.
Quand je vois les opérateurs de mon pays ( privés) engrangés des milliards de profits sur le dos de nos populations ; je me demande à qui profite le crime ??? Il en va de même pour les industriels du ciment , le pétrole et le fer à beton pour ne citer que ceux-là. On laisse faire alors qu’à quelques kilomètres de Cotonou ; le Nigeria peut inonder notre pays en étroite collaboration avec les pouvoirs publics. Ce n’est pas dans l’intérêt de ces gens-là qui ont pris le pays en otage depuis 1960.
Cherchez l’erreur
« Je me permets d’espérer que le monde sortira de ses troubles actuels,
qu’il apprendra un jour à confier la direction de ses affaires, non à des escrocs et des scélérats cruels, mais à des hommes doués de sagesse et de courage…» disait Bertrand Russell
Cherchez l’erreur
Maniaco dépressif, ta phase de dépression va être terrible! Tu ne nous manqueras pas.