Les méthodes de guerre ont radicalement changé avec l’essor des drones, capables de frapper avec précision à moindre coût et sans risque pour les pilotes. Ces engins, autonomes et bon marché, saturent les défenses ennemies et transforment les champs de bataille, marquant la fin des stratégies militaires traditionnelles.
Une course à l’innovation s’engage, où efficacité et économie deviennent les maîtres-mots. L’Iran s’est imposé comme leader dans ce domaine avec son Shahed-136, un drone kamikaze redoutable : 2 500 km d’autonomie, une charge explosive et un coût dérisoire (20 000 à 50 000 dollars). Inspiré de modèles existants, mais adapté aux besoins actuels, il a été massivement utilisé par la Russie en Ukraine sous le nom de Geran-2. Une arme simple, mais redoutable, où la quantité l’emporte sur la sophistication, épuisant les défenses aériennes à moindre frais.
Les États-Unis ripostent avec leur propre version
Le Pentagone a réagi en urgence : le 19 août, une demande d’information a été lancée pour 16 drones (extensible à 20), reproduisant les caractéristiques du Shahed-136 (lancement pneumatique, autonomie et modularité). L’objectif ? S’adapter à cette nouvelle menace et tester des solutions low-cost, alors que des entreprises américaines (SpektreWorks, Griffon Aerospace) développent déjà des prototypes comme le FLM 136 ou le MQM-172 Arrowhead. Une réponse directe à l’innovation iranienne, qui bouleverse les équilibres stratégiques.
Une guerre technologique et industrielle
Le Shahed-136, avec un taux d’attrition de 70 à 90 %, exige une production de masse. Il s’agit d’une stratégie maîtrisée par la Russie, capable d’en fabriquer plusieurs centaines par mois. Les États-Unis, via un décret accélérant la production nationale, veulent rivaliser : drones bon marché, fabriqués rapidement, pour contrer cette menace et renforcer leur arsenal.
Ce projet pourrait leur permettre de bientôt concrétiser leur « place de marché pour drones » souhaitée par l’exécutif et qui permettrait aux armées de directement passer commande sur une plateforme gérée par le gouvernement (et notamment le Pentagone) plus rapidement que prévu. Un projet essentiel qui permettra de répondre aux exigences des conflits actuels et surtout, d’assurer une défense de l’espace aérien américain, de tous les instants.




Dans les années 60 les amères-loques avaient 10 ans d’avance sur tout le monde. Aujourd’hui, ils copient un avion-jouet iranien, peuple qu’ils disaient arriéré !
Cherchez l’erreur
Les amères-loques étaient trop occupès à travailler sur la cause LGBT+++
Couper le zifolo des petits graçon ou produire des armes de guerre, il faut choisir