Les performances de Tesla au second trimestre 2025 confirment les difficultés du constructeur, avec 384 122 véhicules livrés à travers le monde, soit une baisse de 13,4 % par rapport à la même période en 2024. Cette érosion est particulièrement marquée en Europe, où la marque américaine a subi un recul de 37 % entre janvier et mai sur le Vieux Continent.
Ces résultats décevants, bien que moins catastrophiques que redouté dans certaines zones géographiques, poussent l’entreprise d’Elon Musk à accélérer sa diversification. Face à cette contraction du marché automobile électrique, Tesla cherche de nouveaux marchés, à commencer par celui de l’énergie. La firme d’Elon Musk a ainsi sollicité une autorisation cruciale auprès du régulateur britannique Ofgem pour distribuer directement de l’électricité aux consommateurs du Royaume-Uni.
Une stratégie énergétique ambitieuse outre-Manche
La demande, signée par Andrew Payne, responsable énergétique européen de Tesla, formalise les ambitions du groupe sur le marché britannique de la fourniture électrique. Cette initiative s’appuie sur une licence de production déjà obtenue en 2020, permettant à l’entreprise de générer de l’électricité via ses installations photovoltaïques sans pouvoir la commercialiser directement.
L’écosystème énergétique de Tesla s’articule désormais autour de solutions photovoltaïques couplées à des systèmes de stockage sophistiqués, notamment les batteries domestiques Powerwall et les unités industrielles Megapack destinées aux installations solaires et réseaux électriques.
Mutation stratégique face aux défis concurrentiels
Cette diversification énergétique illustre la transformation profonde de Tesla, évoluant de la position de constructeur automobile vers celle d’un acteur intégré des infrastructures et de la robotique. Une nécessité, selon certains, alors que le groupe n’arrive plus à vendre de voitures électriques et qu’Elon Musk a désormais une connotation politique qui peut déranger investisseurs et acheteurs. Pour preuve, au Royaume-Uni, pays ciblé par Musk et Tesla, les immatriculations ont dramatiquement chuté de 2 462 unités en juillet 2024 à seulement 987 l’année suivante.



Qu’on n’aime ou qu’on n’aime pas les tablettes à roulettes, les Tesla sont de sacrées bagnoles. A tel point qu’on a du mal à croire qu’elles sont américaines.
Le problème d’Elon, c’est que les Chinois font désormais aussi bien beaucoup moins cher !
Les idéologues de BXL veulent tuer le moteur thermique au profit de cette technologie « écologique ». C’est un méga mensonge :
– l’électricté est parfois produite par des centrales à charbon !
– la fabrication de ces millions de batteries n’est pas écologique
– crapahuter en permanence 500 kg de batteries est un non-sens
Pourtant des solution existent :
– hybride : thermique en croisière, électrique en accélération, KERS au freinage.
– pile à combustible
– carburant végétal
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