Le jeudi 3 septembre, lors d’une conférence de presse tenue à Paris avec le président français Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky a révélé que Donald Trump avait exprimé une forte contrariété envers certains pays européens. La Slovaquie et la Hongrie ont été particulièrement pointées du doigt pour avoir continué à se fournir en pétrole en provenance de Russie, malgré la situation tendue en Ukraine.
L’Europe encore liée au pétrole russe
Depuis des décennies, de nombreux pays européens dépendent largement des exportations énergétiques russes pour alimenter leurs industries et leurs foyers. Même avec les efforts déployés pour diversifier les sources d’approvisionnement, certains États restent attachés à ce pétrole pour des raisons économiques et logistiques. Cette dépendance rend difficile un abandon rapide des importations russes et expose ces pays aux critiques de leurs partenaires internationaux.
Tensions entre alliés
Zelensky a indiqué que cette situation compliquait les efforts de coordination entre Washington et les capitales européennes. Emmanuel Macron a confirmé que l’administration américaine avait fait part de son mécontentement, tout en précisant que les deux pays avaient justifié leurs décisions par des contraintes géographiques et des liens économiques anciens. Les choix énergétiques de ces pays pourraient ainsi freiner l’action collective contre Moscou, montrant combien l’énergie reste un élément central de la stratégie internationale.
Ce désaccord souligne la difficulté pour l’Europe de concilier besoins énergétiques et pression diplomatique. Chaque décision sur le pétrole russe influence non seulement les relations transatlantiques, mais aussi la stabilité énergétique du continent.




C’est pas du tout ce qu’il s’est passé
Lors de leur réunion à Paris le 04.09.25, les gars de la coalition des « guignols volontaires » ont appelé Trump afin de lui demander de cautionner l’envoi de troupes de l’OTAN en Ukraine et de lui demander plus de sanctions sur la Russie.
Trump a alors enguirlandé Macaron en lui disant qu’envoyer des troupes n’était pas d’actualité et que côté sanctions l’UE devait d’abord appliquer celles DEJA DECIDEES comme NE PLUS ACHETER DE GAZ RUSSE, avant de demander aux USA d’en ajouter d’autres.
Ensuite Trump a posté une phot0 de lui serrant la main de Poutine en Alaska. AMBIANCE …
BREF … les deux amateurs de farine colombienne, zobenski et macaron, ont relaté les choses afin de ne pas être trop ridicules. Tant que faire se peut
Cette bande clowns européens essaie d’exister encore un peu avant de disparaître dans les poubelles de l’Histoire. Seule Meloni, qui s’est distanciée de ces bouffons, peut envisager survivre politiquement au chaos qui se prépare
L’avenir de Macron est très incertain.
Ce qui sûr, par contre, c’est qu’il se voit en chef de guerre et ne partira pas sans avoir « envoyé des mecs » (sic) se faire tuer en Ukraine.
Macron a déjà prévenu les hopitaux français « d’arrivages imminents et importants » de soldats blessés
« Macron a déjà prévenu les hopitaux français « d’arrivages imminents et importants » de soldats blessés »
Il est prévoyant, dis donc.
Il existe néanmoins une autre théorie. Le nombre de soldats français envoyés en douce, et amochés par les Russes, serait suffisamment important pour devoir « faire semblant d’envoyer officiellement d’autres mecs » afin de pouvoir justifier le rapatriement des soldats déjà blessés en nombre.
Un peu tordu mais bien dans l’esprit de Micron
Trump, l’amoureux éconduit de Putin s’énerve contre l’Europe.
Pathétique.
Tous les dirigeants européens défendent des intérêts contraires à ceux de leurs citoyens. Ils défendent les intérêts de leur maître américain … qui se permet de les eng*** à tout va.
L’UE, c’est un beau b0rd€l d’inc0mpétents, veules, lâches et stupides.