La France est secouée par une crise politique majeure, marquée par la chute du gouvernement de François Bayrou, renversé par un rejet du vote de confiance par les parlementaires de l’Assemblée nationale. Cette instabilité institutionnelle a poussé certains partis à réclamer la démission d’Emmanuel Macron.
Dans ce contexte agité, Sébastien Lecornu, proche collaborateur du président et ancien ministre des Armées, a été désigné Premier ministre, ce jour. Une nomination qui introduit une nouvelle phase dans une séquence déjà mouvementée. Celui-ci prend les rênes d’un pays divisé, avec pour mission de rétablir l’équilibre dans un paysage politique profondément éclaté.
De nouvelles promesses faîtes aux Français
Dès son premier discours, le premier ministre a promis une approche inédite, tant sur le fond que sur la forme, insistant sur la nécessité de dépasser les clivages actuels. Il a annoncé des consultations rapides avec les forces politiques pour désamorcer les tensions et forger des compromis, une stratégie qu’il présente comme indispensable pour sortir de la paralysie.
Un mandat sous haute pression
La nomination de Lecornu, figure emblématique du macronisme, soulève toutefois de nombreuses questions. Elle intervient après l’échec de François Bayrou, dont le projet de budget, destiné à réduire la dette publique, a précipité la chute. Le nouveau Premier ministre devra non seulement constituer une équipe capable de résister aux divisions, mais aussi faire adopter un budget avant la fin de l’année.
Son parcours, marqué par une présence ininterrompue au gouvernement depuis 2017, pourrait jouer en sa faveur comme en sa défaveur. Si sa fidélité à Macron lui assure une légitimité auprès de l’exécutif, elle nourrit aussi les critiques sur une classe politique jugée éloignée des réalités. La scène de passation, alors que se déroulait au même moment d’importantes manifestations et blocages, était le meilleur exemple de l’éloignement entre deux réalités bien différentes.
Un vrai renouveau ou un simple recyclage ?
Les promesses de rupture et de dialogue ne sont pas une nouveauté dans le discours politique français. Ces engagements, répétés à chaque crise, peinent à se traduire dans les faits, alimentant la méfiance des citoyens et des élus.
Alors que Lecornu mise sur son expérience et sa loyauté envers le président Macron, beaucoup déplorent que le président persiste à s’appuyer sur un cercle restreint de fidèles, freinant l’émergence d’une réelle alternative.




Faut virer cette photo. On dirait un morphing de Napoléon avec un nasique.
Nasalis larvatus pour les ignares
L’escroquerie du siècle : Le Cornu propose aux Français « d’investir » leurs économies dans la fabrication d’armes qui seront envoyées en Ukraine !
😂 😂 😂 😂 😂
En gros, il leur propose de balancer leurs économies dans un trou noir. Le rendement sera minime ! Tu parles, s’ils revoient leur pognon, ils pourront déjà être content !
😂 😂 😂 😂 😂
Même Madoff n’aurait pas osé une arnaque pareille !
Je me demande combien de débilos vont « investir » ?
Avec Atalantean, ça fait 1 😂
Le circuit est facile à comprendre :
Le Cornu –> Macron
Macron –> Zobenski
40% de l’argent envoyé en Ukraine par Macron est détourné par Zobenski.
Zobenski en redistribue une partie à ses « copains corrompus »
Zobenski –> Macron
Macron –> Le Cornu
Ensuite Le Cornu oblige/demande aux Français d’investir en Ukraine !
Une pyramide de Ponzi à côté, c’est de la blague
« De nouvelles promesses faites aux Français »
De nouvelles promesses permettent de faire oublier celles qui n’ont pas été tenues
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