Les décisions récentes de Donald Trump continuent de diviser l’opinion américaine. Après avoir pris le contrôle de la police métropolitaine de Washington et ordonné le déploiement d’environ 800 membres de la Garde nationale pour “restaurer la sécurité” dans la capitale, le président américain fait face à de vives critiques. Tandis que la Maison-Blanche défend ces mesures comme nécessaires pour protéger les habitants, des élus locaux et des associations dénoncent une dérive autoritaire. Cette tension a trouvé un nouvel écho mardi soir dans un épisode capté par des vidéos devenues virales.
Des slogans chocs, un président qui garde le contrôle
Mardi soir, Donald Trump dînait dans un restaurant à quelques rues de la Maison-Blanche lorsqu’un groupe de manifestants a fait irruption. Les slogans fusaient : “Libérez Washington !”, “Libérez la Palestine !”, et même “Trump est l’Hitler de notre époque !”, tout en agitant des drapeaux palestiniens.
Loin de paraître déstabilisé, le président s’est tourné vers les protestataires, les fixant avec un sourire assuré. La vidéo montre qu’il ne se contente pas d’un simple hochement de tête : il prend le temps de regarder la scène, comme pour marquer sa maîtrise de la situation. Après quelques secondes, il fait signe à ses agents d’évacuer les fauteurs de trouble. Les services secrets interviennent rapidement, tandis qu’une partie des clients, restés fidèles au président, scandent “USA ! USA !” pour couvrir les slogans hostiles.
Cette attitude, calme mais résolue, a surpris de nombreux observateurs. Certains y voient une stratégie bien calculée pour montrer un président inébranlable, tandis que d’autres estiment que son silence trahit un mépris affiché face à la contestation.
Un dîner sous haute tension politique
Cet incident illustre l’extrême polarisation qui entoure Donald Trump depuis son retour à la Maison-Blanche. Son recours à la Garde nationale pour encadrer la capitale reste vivement contesté. La maire de Washington, des élus démocrates et plusieurs organisations locales dénoncent une violation de l’autonomie de la ville. La municipalité a même porté plainte contre l’administration pour contester la légalité de cette décision.
Le dîner, qui devait montrer un président serein et proche de ses conseillers, a pris une dimension bien plus symbolique. Entouré de son vice-président JD Vance, du secrétaire à la Défense Pete Hegseth, du secrétaire d’État Marco Rubio et de plusieurs stratèges politiques, Trump voulait projeter l’image d’un chef d’État sûr de lui. L’incident a au contraire rappelé combien chaque apparition publique devient un terrain d’expression pour ses opposants.




Trump, c’est du show !
Zobenski, c’est du show !
Micron, c’est du show !
Si on avait voulu voter pour des intermittents du spectacle, on aurait voté pour les Filles du Crazy Horse. Elles, au moins, sont agréables à regarder.