La boxeuse algérienne, championne olympique, a déposé un recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour contester l’obligation de tests génétiques imposée par la fédération internationale World Boxing. Cette démarche vise à lui permettre de participer aux Mondiaux de Liverpool sans être soumise à ces contrôles. L’action fait suite à son exclusion du tournoi d’Eindhoven en juin, première compétition appliquant la nouvelle réglementation. L’issue de ce recours pourrait influencer sa présence dans les prochaines compétitions majeures.
Un recours devant le Tribunal arbitral du sport
Le TAS a indiqué que les arguments des deux parties sont actuellement examinés sous forme de mémoires écrits, et qu’une audience sera fixée d’un commun accord. L’instance a également refusé de suspendre la décision contestée, déposée par Imane Khelif le 5 août. Cette décision l’empêche de prendre part aux rencontres internationales tant que la procédure n’est pas terminée. La boxeuse souhaite que l’interdiction qui lui impose un test chromosomique, entrée en vigueur fin mai, soit annulée afin de disputer les Mondiaux de Liverpool, qui se dérouleront jusqu’au 14 septembre, sans cette contrainte.
La démarche engagée met en avant la question de l’équité et du respect des droits des athlètes, tout en interrogeant l’application de nouvelles règles dans le sport féminin. La procédure devant le TAS constitue une étape formelle qui pourrait durer plusieurs semaines et dont l’issue pourrait avoir des répercussions sur la participation des autres sportives soumises à des contrôles similaires. Ce recours marque également un moment important pour la gouvernance des compétitions internationales et la manière dont les normes sont interprétées.
Parcours et contexte de la championne algérienne
Imane Khelif, née à Laghouat, en Algérie, est âgée de 26 ans. Elle a remporté la médaille d’or aux Jeux olympiques de Paris 2024 et s’est distinguée aux Jeux méditerranéens en 2022. Issue d’un milieu modeste, elle a dû surmonter des difficultés financières et logistiques pour poursuivre sa carrière et participer à des compétitions internationales. Son ascension fulgurante a attiré l’attention médiatique, surtout après les débats suscités par son genre lors des JO de Paris. Ces polémiques ont conduit à la mise en place de tests génétiques pour les athlètes féminines par World Boxing, mesures que Khelif conteste désormais devant le TAS.
La boxeuse affirme concourir en tant que femme et considère que l’obligation de tests viole ses droits fondamentaux et sa dignité. L’affaire soulève des enjeux sur la protection des sportives, la régulation des compétitions internationales et la compatibilité des nouvelles règles avec les principes de non-discrimination. Le cas Khelif montre les tensions entre la recherche d’équité sportive et le respect des droits individuels, et pourrait servir de référence pour d’autres disciplines confrontées à des problématiques similaires.
Les tests imposés par World Boxing ont été présentés comme un outil pour garantir des compétitions justes, mais ils suscitent des débats juridiques et éthiques. La procédure engagée par Khelif pourrait influer sur la manière dont d’autres fédérations adoptent et appliquent des contrôles de genre, et sur l’évolution des standards pour les compétitions féminines à l’échelle mondiale. Ce dossier est suivi de près par les observateurs du sport et les instances internationales, ainsi que par les médias spécialisés, en raison de ses implications pour la gouvernance sportive et les droits des athlètes.
Enjeux et perspectives de l’affaire
La décision du TAS déterminera si Khelif pourra participer aux Mondiaux de Liverpool et influencera son calendrier pour les futures compétitions, notamment les prochains Jeux olympiques. La boxeuse continue de s’entraîner malgré l’incertitude juridique et prépare sa participation aux événements internationaux. La procédure soulève des questions sur l’équilibre entre réglementation sportive et droits individuels, et pourrait servir de précédent pour d’autres disciplines confrontées à des mesures similaires.
Les échanges de mémoires et l’audience à venir seront décisifs pour trancher sur la légitimité de l’interdiction et la participation de Khelif. La championne reste mobilisée et sa démarche attire l’attention sur les défis rencontrés par les athlètes face à de nouvelles règles, dans un contexte où les normes internationales évoluent rapidement.




Le département régence a porté haut et fort l’étendard LGBT+ avec son bonhomme Iman khelif.
Une Brigitte Macron algérienne. Si elle est sûre de son genre, pourquoi refuser un test ADN…
C’est une honte pour ce pays musulman de cautionner cette mascarade.
C’est normalement à la ligue de boxe de l’Algérie de tirer au clair, cette affaire qui salit l’image des femmes algériennes dans le monde du sport féminin .
Rien qu’à regarder sa tête et ses comportements physiques, on voit bien que cette personne n’est pas du tout une femme.
D’après ce que j’ai compris, c’est un XY avec le syndrome d’insensibilité complète aux androgènes (SICA).
Le test donnera HOMME.
Mais je peux me tromper. Ces sujets m’intéressent peu même si je n’aime pas voir un homme tabasser des femmes. Et « elle » cogne comme un homme, c’est clair !
Brigitte ressemble quand même plus à une femme !
« ELLE » est mignonne, c’est sûr
Mouais, si ça, c’est une gonzesse mon Q c’est du poulet
Un test génétique, ça parait être du bon sens : XX ou XY et c’est caisse
En Allemagne, tu vas à la mairie, tu dis que « tu te sens femme », ils te changent ton état civil et te demandent si tu veux t’appeler Violette ou Amandine !
Avec ta nouvelle carte d’identité, tu as le droit d’aller dans les toilettes pour dames. Alors pourquoi pas un titre olympique ?