La guerre en Ukraine a gelé les relations américano-russes, plongeant Washington et Moscou dans une confrontation sans précédent. Pourtant, un tournant diplomatique surprise s’est esquissé lors du sommet d’Anchorage, où Donald Trump et Vladimir Poutine ont évoqué des pistes pour désamorcer la crise.
Sans résultat tangible, cette rencontre a toutefois marqué une rupture symbolique : après des années d’affrontement, le dialogue reprend. Un dialogue timide, mais réel. Trump affiche une volonté claire de normaliser les échanges avec la Russie, en rupture avec la ligne dure de ses prédécesseurs.
Moscou tend la main à Washington
Cette démarche trouve un relais à Moscou, où des figures comme Sergueï Riabkov, vice-ministre des Affaires étrangères, évoquent une possible coopération renforcée. Une détente qui, si elle se confirme, pourrait rebattre les cartes géopolitiques, mais aussi économiques.
L’énergie, terrain d’entente potentiel
Au cœur des discussions : le projet Sakhaline-1, géant pétrolier et gazier de l’Extrême-Orient russe. Lancé en 1996 sous un modèle de partage de production, ce site incarnait jadis la collaboration énergétique entre les deux pays. Mais le retrait forcé d’ExxonMobil en 2022, sous le coup des sanctions post-invasion, a tout bouleversé.
La Russie, qui a repris le contrôle des opérations, cherche à attirer de nouveaux investisseurs occidentaux, à condition que les restrictions soient levées. Le Kremlin mise sur ce dossier pour relancer les partenariats, malgré un contexte toujours miné allant jusqu’à proposer des garanties aux entreprises américaines, tout en exigeant un assouplissement des sanctions.
Entre espoirs et réalités géopolitiques
Les obstacles restent immenses : sanctions persistantes, désaccords sur l’Ukraine, et pressions politiques internes des deux côtés. Pourtant, l’implication de conseillers influents comme Kirill Dmitriev, proche de Poutine, et l’intérêt affiché par l’administration Trump laissent entrevoir une fenêtre d’opportunité. Si les négociations aboutissent, elles pourraient redéfinir l’équilibre des forces, dans un monde où l’énergie reste un atout majeur.




le Triangle naïf :
Macron-Stamer-Merz
ils font couler l’Europe des 27
TEST
Les sponsors de Trump, ce sont les compagnies pétrolières US.
Trump-Poutine se déjà sont mis d’accord sur l’énergétique.
La dinde farcie s’appellent Ursula et les dindonneaux Micron, Starmer et Merz vont avoir beaucoup de mal à s’asseoir durant les prochaines années.
Merci à ces tocards de nous avoir bousillé les 20 prochaines années !
Oooops, l’ukraine, on n’en parle même pas … un état croupion dans le meilleur des cas.
Si Poutine le renard agite les contrats ExxonMobil devant le bec de Trump le canard, sûr qu’il va remuer la queue.