Le président Donald Trump a surpris son auditoire à l’Assemblée générale de l’ONU en relatant une panne d’escalator et un problème de téléprompteur. La scène s’est déroulée à New York, sous le regard des délégations internationales. Ces remarques ont provoqué rires et réactions amusées dans la salle. L’épisode souligne une nouvelle fois la relation complexe entre Washington et l’organisation internationale, régulièrement critiquée par Trump. L’incident technique est devenu l’un des points inattendus de son intervention officielle.
Une anecdote technique qui fait sourire
Au moment d’évoquer son arrivée au siège de l’ONU, Donald Trump a raconté que l’escalator qu’il empruntait avec son épouse Melania s’était brusquement arrêté alors qu’il montait. Selon ses mots, l’incident aurait pu être dangereux si elle « n’était pas en forme », déclenchant des rires dans l’assemblée. Le président américain a poursuivi sur le même ton en expliquant que son téléprompteur avait cessé de fonctionner au début de son discours. Il a résumé en affirmant n’avoir reçu de l’organisation qu’un « mauvais escalator » et un « mauvais téléprompteur ». Ces commentaires, prononcés lors d’un rendez-vous diplomatique très encadré, tranchent avec la solennité habituellement attendue dans ce cadre.
L’épisode montre aussi la manière dont Trump utilise des anecdotes pour capter l’attention. Ses interventions officielles, parfois émaillées de remarques spontanées, sont régulièrement reprises dans les médias. Cet incident technique, bien que mineur, a instantanément circulé sur les réseaux sociaux. Plusieurs analystes ont noté que ces apartés contribuent à renforcer son image de dirigeant imprévisible. Pour autant, la séquence reste avant tout anecdotique par rapport aux enjeux diplomatiques abordés lors de cette session.
Trump et sa vision des organisations internationales
Au-delà de la plaisanterie, cet épisode rappelle la position critique que Donald Trump exprime depuis longtemps vis-à-vis des institutions multilatérales. Lors de son premier mandat, il avait remis en cause le financement américain de plusieurs agences, tout en reprochant à l’ONU son manque d’efficacité. Le président avait aussi contesté l’utilité d’alliances comme l’OTAN, estimant que les États-Unis supportaient une charge disproportionnée. Cette défiance reflète une conception plus large des relations internationales : privilégier les accords bilatéraux plutôt que les cadres collectifs. Les tensions autour de la guerre en Ukraine ou encore du rôle du Conseil de sécurité ont alimenté ces critiques.




Ah! l’histoire se répète bel et bien.
Il y a quelques années au Bénin on avait assisté que les compteurs électriques refusent de fonctionner en présence de Thomas Boni Yayi.
À New York l’escalator et prompteur de lecture refusent l’un après l’autre de fonctionner en présence de Trump. Même les objets inanimés fuient Trump.
Sauve qui peut! « Ahovi N’bô Lêgni »