Une rencontre très attendue entre Donald Trump et Vladimir Poutine doit se tenir à Budapest, au cœur d’une Europe attentive aux enjeux de la guerre en Ukraine. Ce sommet vise à explorer des pistes de dialogue, alors que les tensions restent vives et que les attentes sont prudentes.
Budapest, un choix stratégique et controversé
La Hongrie, dirigée par Viktor Orbán, se présente comme l’hôte grâce à ses liens avec les deux présidents. Cette position lui confère une visibilité particulière, ce qui suscite des inquiétudes à Bruxelles : certains experts politiques craignent que la réunion ne permette à Orbán de se poser en représentant de l’UE, alors que sa vision sur l’Ukraine diverge de celle de l’Union. Selon Alberto Alemanno, professeur de droit européen à Jean Monnet, ce sommet pourrait accentuer des désaccords déjà présents entre les États membres, a rapporté Euronews.
Le sommet s’insère dans la continuité d’échanges diplomatiques récents, dont un appel téléphonique entre Trump et Poutine qualifié de constructif et une rencontre antérieure en Alaska qui n’avait pas abouti à des accords. Ces événements rappellent les difficultés de parvenir à des compromis rapides, tout en donnant à Budapest une opportunité de servir de médiateur pour initier des discussions plus concrètes.
Bruxelles entre prudence et exigences pour l’Ukraine
À l’échelle européenne, la réaction est prudente mais déterminée. Les partis de gauche et les Verts insistent sur la responsabilité de Poutine, rappelant qu’il est visé par un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et qu’il devrait répondre de ses actes sur le territoire européen. Les socialistes, centristes et conservateurs, tout en soutenant fermement l’Ukraine, restent sceptiques quant aux résultats concrets de cette rencontre.
Pour la Commission européenne, l’enjeu principal demeure la protection de l’Ukraine et la limitation de la capacité russe à poursuivre la guerre. Si le sommet offre une possibilité de dialogue, il met également en lumière les tensions internes à l’UE et les risques liés à la concentration d’influence entre les mains d’un seul dirigeant européen. Les décisions prises à Budapest auront donc des implications immédiates sur la stratégie européenne et sur la crédibilité de l’Union face à la Russie.




« Budapest, un choix stratégique et controversé »
CONTROVERSE par QUI, put@in de c0nn@rd ???
La Hongrie est un ETAT SOUVERAIN ! ILS FONT CE QU’ILS VEULENT !
Et un sommet pour la paix, ça n’a rien de « controversable »
T’énerve pas. le débilos de service pense que les crétins de Brucelles doivent décider pour les autres. C’est débile mais c’est la doxa actuelle