Alors que des alertes venant de plusieurs pays occidentaux ont récemment recommandé à leurs ressortissants de quitter le Mali, les autorités assurent que la capitale reste sécurisée. Les rumeurs de prise imminente de la capitale par des groupes djihadistes sont qualifiées d’exagérées par les autorités, qui insistent sur la maîtrise de la situation.
Contrôle de la capitale et réponse du gouvernement
Le ministre des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a tenu à clarifier la situation face aux inquiétudes internationales. Lors d’une conférence de presse mercredi soir, il a souligné que le groupe jihadiste JNIM n’était « pas à la hauteur » pour menacer directement Bamako, et que les rumeurs de prise de la capitale relevaient de scénarios irréalistes. Les efforts du gouvernement pour gérer le blocus du carburant et maintenir les services essentiels permettent de limiter l’impact des perturbations, selon lui.
Les autorités maliennes soulignent que les forces de sécurité surpassent largement les capacités des groupes armés, maintenant le contrôle de la capitale et de ses infrastructures clés. Cette position vise à rassurer tant les citoyens maliens que les étrangers présents dans le pays, tout en affirmant que la ville n’est pas menacée d’une occupation djihadiste.
Situation sécuritaire générale et perception internationale
Le Mali a fait face à une série d’attaques et de tentatives de blocage de convois par le JNIM, entraînant des perturbations dans l’approvisionnement en carburant et des tensions dans certaines régions. Plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis, la France et l’Italie, ont recommandé le départ immédiat de leurs ressortissants, invoquant un risque élevé d’enlèvements et d’attaques. Ces alertes ont suscité des inquiétudes, mais les autorités maliennes estiment qu’elles reflètent une mauvaise compréhension des conditions réelles sur le terrain.
Le gouvernement insiste sur le fait que le Mali reste ouvert et accueillant pour les étrangers. Le ministre a indiqué que l’appel de l’Union africaine à une intervention internationale, visant le partage de renseignements, reposait sur une perception erronée de la situation. Le ministre a précisé que certaines prédictions alarmistes avaient pour objectif de provoquer des troubles pour déstabiliser le gouvernement militaire en place depuis les coups d’État de 2020 et 2021, mais que la capitale restait sous contrôle.
Malgré les alertes de plusieurs pays étrangers, Bamako reste, selon les autorités maliennes, sous contrôle. Les divergences de perception entre le gouvernement et la communauté internationale soulignent les défis de l’évaluation de la sécurité dans le pays.
De quoi tu parles Trouduc ? Mariam Cissé , vingtaine d’années, la Tiktokeuse de Tonka, région de Tombouctou, a été vio lée, lyn chée et exécu tée en place publique par les Ter ros.
Tu étais où le 6 novembre dernier?
Où était l’administration Goïta ? A la recherche sans doute de camions citerne de produits pétroliers pour les livrer à Bamako.
Ce qui se passe au Mali va sonner le glas de l’AfrikaCorps de Poutine qui sont des ban dits, es crocs, pill eurs de ressour ces min ières.
Misè re! Misè re!
c’est plutôt toi qui est à l’heure des jihadistes, 11 années de présence de forces de l’otan pour quel résultat ? on en parle
»…..Bamako contrôlé par les djihadistes ? Le Mali remet les pendules à l’heure…. »
Ouais! Bamako va mettre ses pendules à l’heure pendant combien de temps encore.
Tombouctou est déjà à l’heure des Djihadistes. Et ça, ce n’est pas une bonne nouvelle.
Un **** de peau et de cerveau qui se réjouit du malheur des Maliens orchestré par ceux qui se prennent pour les propriétaires des ressources des pays de l’AES, et qui aujourd’hui, après avoir été boutés hors de ces territoires, sont maintenant très informés de la position et de la puissance des terroristes qu’ils étaient incapables d’éradiquer pendant plus d’une décennie.
les soldats de l’AES attendent de pieds fermes ces **** de ton espèces qui tenter renverser Goïta.
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« AES attendent de pieds fermes »
Mangeur de sable, ta gueule!
Bande de crevards!
La Russie est déjà propriétaire de vos cerveaux et de vos ressources minières.
RDV dans 2 ans.
Naze va!