Lundi a marqué un tournant pour Nicolas Sarkozy. Sorti de la prison de la Santé après trois semaines de détention, l’ancien chef de l’État fait face à une nouvelle étape judiciaire. Sa liberté reste encadrée et une échéance déterminante approche : un procès en appel prévu au printemps 2026. Les autorités judiciaires ont confirmé que cette affaire, déjà longuement examinée, reviendra devant la cour d’appel de Paris dans quelques mois.
Procédure judiciaire en France : un appel déjà programmé pour Nicolas Sarkozy
Selon le calendrier annoncé, l’ex-président devra comparaître du 16 mars au 3 juin 2026 dans le cadre de l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Cette nouvelle phase intervient peu après sa libération, décidée ce 10 novembre, alors qu’il reste soumis à un contrôle judiciaire strict. Les restrictions incluent l’interdiction de quitter le territoire et l’obligation d’éviter tout contact avec les personnes liées de près ou de loin à l’enquête, y compris le ministre de la Justice Gérald Darmanin et son entourage administratif, une mesure considérée comme exceptionnelle.
Ces contraintes s’ajoutent aux enjeux du futur procès en appel, qui examinera de nouveau les conclusions rendues en septembre 2025. À cette date, Nicolas Sarkozy avait été condamné à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs, la justice ayant estimé qu’il avait laissé ses collaborateurs solliciter des fonds auprès du régime de Mouammar Kadhafi pour financer sa campagne présidentielle de 2007. Il conteste toujours ces accusations.
Affaire libyenne et justice française : un rappel des faits
L’incarcération de Nicolas Sarkozy faisait suite à sa condamnation en première instance, les juges estimant que des démarches avaient été réalisées auprès d’interlocuteurs libyens afin d’obtenir un financement occulte. Cette décision avait conduit à son placement en détention à la prison de la Santé avant la demande de remise en liberté examinée ce lundi 10 novembre.
Sarkozy et la justice française : une année 2026 déterminante
La tenue du procès en appel ouvre une nouvelle séquence, scrutée de près, qui pourrait prolonger ou modifier les décisions prises jusqu’ici. La période de liberté conditionnelle dont il bénéficie désormais reste encadrée, ce qui impose à l’ancien président de se conformer totalement aux exigences fixées par les magistrats.
Ce futur procès représente une étape essentielle dans une affaire qui marque durablement sa relation avec la justice française. Les mois à venir seront donc décisifs pour la suite des procédures qui le concernent, alors que les juridictions devront se prononcer une nouvelle fois sur les accusations portées contre lui.




Tout est dit !
Sarko qui réintègre la France dans l’OTAN alors que de Gaulle l’avait quittée ! Rien que pour cela, ça devrait faire 30 ans de taule !
C’est quoi ce tocard qui en sait plus que le général (pas Mandon, le général d’opérette) le VRAI général DE GAULLE