Une réunion entre représentants américains et européens à Kyiv autour du plan de paix porté par Washington a suscité un vif malaise parmi certains diplomates européens. Selon le Financial Times, un haut responsable a qualifié le ton de la rencontre de « nauséabond », montrant les tensions autour de la manière dont les États-Unis cherchent à faire avancer leur initiative sur la guerre en Ukraine.
Une réunion à Kyiv sous forte pression diplomatique
La rencontre s’est tenue le vendredi 21 novembre à la résidence de la cheffe de mission américaine à Kyiv, Julie Davis. Autour de la table se trouvaient le secrétaire à l’Armée des États-Unis, Daniel Driscoll, des ambassadeurs européens et des représentants britanniques, venus discuter du plan américain visant à mettre fin au conflit entre la Russie et l’Ukraine.
D’après les informations rapportées par le Financial Times et reprises par plusieurs médias, Daniel Driscoll a expliqué aux diplomates européens qu’il se disait « optimiste » et estimait que « le moment est venu pour la paix ». Il aurait aussi précisé que la marge de manœuvre sur le texte était très limitée, indiquant que les détails du plan n’étaient pas véritablement négociables.
C’est ce ton jugé très direct, voire brutal, qui a déplu à certains participants européens. Un haut responsable ayant assisté à la réunion a parlé d’un échange « nauséabond », estimant que la pression exercée par Washington était particulièrement forte.
Un plan de paix américain au cœur des tensions
Le plan présenté par la délégation américaine fait partie d’une initiative plus large portée par l’administration Trump, structurée autour d’un document d’environ 28 points. D’après les éléments rendus publics par la presse anglo-saxonne, ce projet impliquerait des concessions territoriales ukrainiennes à la Russie, une limitation importante des capacités militaires de Kyiv et un renoncement à l’adhésion à l’OTAN, autant de points qui franchissent plusieurs lignes rouges régulièrement rappelées par les autorités ukrainiennes.
Washington aurait fixé à l’Ukraine un délai jusqu’à Thanksgiving pour accepter le texte, en liant implicitement la poursuite de l’aide militaire et du partage de renseignements à l’attitude de Kyiv vis-à-vis de ce plan. Ce calendrier, combiné au contenu des propositions, est perçu par de nombreux observateurs et responsables européens comme une forme d’ultimatum.
Des Européens mal à l’aise face à la méthode américaine
Côté européen, le contenu même du plan et la manière dont il est présenté suscitent des réserves. Le Financial Times rapporte que plusieurs diplomates voient dans cette démarche un risque de « capitulation » pour l’Ukraine, au profit d’un accord qui satisferait davantage Moscou que Kyiv.
Des sources citées par différents médias indiquent que des responsables européens estiment que Washington chercherait à tirer parti des difficultés politiques actuelles de Volodymyr Zelensky pour accélérer la conclusion d’un accord. D’autres capitales européennes travailleraient déjà à une contre-proposition afin de défendre une approche plus proche des positions ukrainiennes.
Les États-Unis proposent une lecture différente de cette même réunion. Des sources américaines décrivent la rencontre comme « positive, directe et respectueuse », mettant en avant la volonté de mettre fin à la guerre et de préserver les capacités de défense de Kyiv tout en réduisant les risques d’escalade.
Kyiv entre soutien américain et défense de ses lignes rouges
Pour l’Ukraine, l’épisode intervient à un moment délicat. Volodymyr Zelensky a récemment expliqué que son pays se retrouve face à une alternative difficile : préserver sa « dignité » et ses principes, ou maintenir le soutien de son principal allié, les États-Unis. Il a souligné qu’accepter un plan qui entérinerait des pertes territoriales et une limitation durable de la souveraineté ukrainienne reviendrait, selon lui, à renoncer à la liberté et à la justice pour son pays.
Le président ukrainien a néanmoins affirmé vouloir proposer des alternatives, en coordination avec ses partenaires européens, afin de ne pas rompre avec Washington tout en préservant l’essentiel de ses objectifs stratégiques. Plusieurs dirigeants européens, de leur côté, réaffirment leur soutien à l’intégrité territoriale de l’Ukraine et cherchent à peser sur le débat autour du plan américain.



@SERGIO
Ca va biloute ?
Des petits problèmes de vésicule ? Des infusions de pissenlit, ça devrait t’aider, chouchou.
@Sergueï
Putin est éternel. Il ne mourra jamais.
Viva Putin, tu*eur, surtout d’ENFANTS UKRAINIENS.
A*b*r*u*ti ! Tu as la conscience au repos n’est ce pas ?
@BLOB vieux p*édo*phi*le
Et ce dimanche! ça sde passe bien!
Ces eurocrates sont moisis dans la tête. De pauvres types abêtis par des idéologies vaseuses. Ils feraient mieux de se renifler eux-mêmes
La pression américaine sur l’Ukraine est un panaché désastreux pour l’avenir de l’Ukraine, et je pense que Zelensky fera tout son possible pour dire « Non » à cette capitulation venant de Trump. Trump n’a jamais été du côté de l’Ukraine, et Trump a toujours battu le tambour pour Poutine. Depuis quelques jours Poutine accentue les bombardements sur l’Ukraine. Et on connait bien ce jeu. Une guerre d’usure presque quatre ans, et Trump donne deux semaines à l’Ukraine pour accepter un « shit fucking » plan de paix. Personne ne veut le désastre pour l’Ukraine, sauf Trump et Poutine.
Trump n’a jamais aimé le nain vert et ses petites copines, Ursula la boche, Starmère, Micron et Kaja Kalassse. Toutes ces pétasses ont fait campagne contre lui lors des présidentielles et ont saboté ses tentatives de négociation.
Sans même s’en cacher.
Nauséabond ou pas, il va leur faire payer en leur mettant le couteau sur la gorge.
C’est pas joli joli mais c’est mérité, quelque part !
« Des Européens mal à l’aise face à la méthode américaine »
Ces abrutis ont du mal à comprendre que Trump essaient de sauver leur Q.
Le plan des Russes se déroule sans accroc. A SAVOIR, plus le temps passe,
– plus les ukros meurent (1.500 par jour)
– plus les économies européennes plongent
– plus les gains territoriaux sont importants (avec Odessa dans le viseur)
– plus les arsenaux de l’OTAN se vident
Bref, les Russes ont mis les européens en situation de zugzwang. Plus ils s’agitent, plus leur situation se dégrade…
… mais ils sont trop bêtes pour le comprendre