Depuis le 06 avril 2016, Patrice Talon était attendu sur le chantier de la lutte contre la corruption. Se basant sur un rapport d’audit, le gouvernement a décidé que des poursuites judiciaires soient lancées contre certaines personnes.
Seulement, à y voir de près, cette décision s’apparente plus à une intimidation qu’une volonté sincère de lutte contre la prévarication. Tant le caractère sélectif des dossiers, la période et la nature des mis en cause laissent à désirer.
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