Le tonitruant président américain, Donald Trump n’en a décidément pas fini avec les menaces. Quelques mois à peine sa prise de fonction, le président Trump n’en finit pas de s’en prendre à ceux qu’il considère comme les ennemis de l’Amérique libre. Il y a d’abord eu l’Iran, puis la Corée du Nord, et désormais le Venezuela. Mais ce qui étonne plus d’un observateur dans le monde, c’est le fait que chacune des situations précitées n’a pas encore été réglée avant l’annonce de la suivante. Et pour cause, Donald Trump semble pressé, très pressé.
En pleine crise avec la Corée du Nord, le président américain a en effet évoqué la situation au Venezuela. Et ce en des termes menaçants : «Le peuple souffre et des gens meurent. Nous avons de nombreuses options pour le Venezuela, notamment une possible option militaire si nécessaire» a t-il déclaré. Sur ces dossiers le président américain s’inscrit dans la droite ligne de la politique américaine depuis plusieurs décennies. Mais il se démarque de ses prédécesseurs par ses références (non masquées) à des interventions militaires.
Les pays d’Amérique latine opposés, Maduro ordonne des exercices militaires
Après la déclaration du président américain, les pays d’Amérique latine ont fermement condamné de façon unanime, toute volonté d’intervention militaire au Venezuela. Le président Maduro, en héritier d’Hugo Chavez a lui ordonné à son armée d’effectuer des exercices militaires en prévention d’une éventuelle attaque. Nicolas Maduro Guerra, fils du président vénézuélien a pour sa part affirmé qu’ils prendront la maison blanche en cas d’attaque du pays.
Depuis sa prise de fonction, le président américain multiplie sans hésiter les menaces envers les pays hostiles sans prendre en compte les conventions d’usage. Une situation qui a terme risque de créer plusieurs foyers de tension dans le monde.
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