(Une preuve patente de partialité du pouvoir dans la lutte contre la corruption) Saisie le 12 avril 2017 pour dénonciation des conditions d’organisation du concours en vue du recrutement de 94 agents au profi t de la Cnss, l’Anlc a décidé d’enquêter sur le dossier. Les structures et acteurs impliqués dans l’organisation dudit concours ont été auditionnés. Après plus d’un mois d’investigation, l’Anlc a produit son rapport signé le 15 mai 2017 par son président. Seulement de mai 2017 où le rapport a été produit et transmis aux institutions de la République à ce jour, seule l’annulation du concours a été suivie.
Pendant que les recommandations de sanctions à l’endroit des dirigeants de la Cnss ont été ostensiblement ignorées. Une preuve tangible que la lutte proclamée contre la corruption reste encore une initiative sélective.
Au cours d’une conférence de presse organisée par l’Anlc en septembre 2017, le président de cette institution, Jean Baptiste Elias avait présenté à la presse ledit rapport, tout en expliquant la méthodologie d’investigation. Il avait conclu cette présentation par les recommandations formulées par l’Autorité nationale de lutte contre la corruption, Anlc. Quatre types de recommandations avaient ainsi été faites.
La suite de cet article est réservé aux abonnés: Connectez-vous si vous avez déjà un abonnement ou abonnez-vous ici
Que la p**** p******* emporte ce régime de ruptu……
Ce qui intéresse Talon et son Gouvernement, c’est l’argent. Ce n’est nullement des sanctions pour assainir quoique ce soit. Et puis, lutte contre la corruption? Mon oeil!! Si ce n’est pas pour intimider un opposant ou un proche devenu indésirable, M. Talon s’accommode bien de la corruption. La preuve: PPEA2, Maria Gléta, … la liste est longue.
Bien bizarre!