La grogne semble gagner la France. la faute notamment Ă la CSG et Ă la hausse des prix du carburant. Toutefois, le prĂ©sident Macron assume et semble ne pas vouloir Ă©voluer dans ses positions. En France, les retraitĂ©s grognent. En effet, de plus en plus de personnes semblent douter des capacitĂ©s d‘Emmanuel Macron Ă gĂ©rer le pays. Selon certain, le prĂ©sident Français semble mĂȘme mener l’hexagone, droit vers la catastrophe. Alors forcĂ©ment, ces derniers n’hĂ©sitent pas Ă lui dire dĂšs qu’ils en ont l’occasion, donnant parfois lieu Ă des explications musclĂ©es.
Le gouvernement, accusé de ne pas entendre la ruralité
Mardi dernier, un homme a ainsi prit son courage Ă deux mains afin d’expliquer au prĂ©sident de la RĂ©publique, sa façon de penser. Selon lui, la situation prĂ©caire des retraitĂ©s, couplĂ©e Ă la hausse des prix du carburant n’augure rien de bon. RĂ©ponse du prĂ©sident Macron ? « Je vous entends » lui assure-t-il ainsi. ProblĂšme, le retraitĂ© en question, ancien salariĂ© de Lactalis, ne lĂąche pas le morceau. Selon lui, Ă Paris, le gouvernement « n’entend pas la ruralitĂ© ».
Afin de bien faire comprendre au prĂ©sident qu’il ne rigole pas, ce dernier enchaĂźne sur un ton un peu plus menaçant. En effet, le 17 novembre prochain se prĂ©pare une journĂ©e de grĂšve dĂ©cisive qui aura pour objectif de faire plier le gouvernement sur certains point, dont la hausse des taxes sur le carburant. Selon cet homme, le ras-le-bol est gĂ©nĂ©ral et cette journĂ©e servira de point d’ancrage afin que les Français puissent commencer Ă exprimer leur colĂšre.
La CSG et la hausse des prix du carburant, points de discorde
Face Ă cet argument, le prĂ©sident rĂ©plique alors d’un ton trĂšs calme. PremiĂšrement, la CSG prise par le gouvernement permet de financer la sociĂ©tĂ© et ses services publics. Malheureusement, cette explication ne sera pas du goĂ»t de l’homme ayant engagĂ© la discussion. Selon lui, le gouvernement prend plus que ce qu’il ne devrait. Macron rĂ©torque alors qu’il ne prend que la part nĂ©cessaire, et pas un centime de plus.
Avant de terminer ce dialogue, les deux hommes embrayent une nouvelle fois sur le coĂ»t du carburant. Selon le retraitĂ©, les taxes sont bien trop importantes et le prĂ©sident français est l’unique responsable du prix au litre qui explose. Le PrĂ©sident français, qui assure parler sans dĂ©magogie, confirme alors que cette hausse s’explique Ă 80 % par le prix des cours mondiaux, qui sont en train d’exploser. Enfin, avant de s’en aller et de continuer son bain de foule, le chef de l’Ătat se permet un petit tacle, assurant que c’Ă©tait ce genre de personne, appelant Ă la rĂ©volte et Ă la manifestation, qui ne faisait qu’aggraver la situation de la France.
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