Le récent entretien accordé par Carla Bruni-Sarkozy à Valérie Trierweiler cache en fait un réel soutien apporté à l’ex femme de François Hollande, dans le viseur de la chanteuse depuis un certain jour de mai 2012…Nous sommes en mai 2012. À l’époque, le tout nouveau président élu, François Hollande, participe à la passation de pouvoir en compagnie de sa femme, Valérie Trierweiler et du battu, Nicolas Sarkozy, en compagnie de Carla Bruni-Sarkozy. Problème ? Hollande ne raccompagnera pas Sarkozy et sa femme à leur voiture. Une « impolitesse républicaine » selon son prédécesseur.
Depuis mai 2012, Carla Bruni-Sarkozy se paie François Hollande
Depuis ce jour, Carla Bruni-Sarkozy semble garder une certaine rancœur à l’égard de l’ancien chef d’Etat qu’elle égratigne à la moindre occasion. En 2013, celle-ci lui avait d’ailleurs dédié une chanson intitulée « Le Pingouin », chanson disponible sur son quatrième album. Un drôle de tacle auquel Hollande n’avait pas manqué de réagir, assurant que cela aurait pu être pire, le pingouin étant un animal plus gentil. Un an plus tard, l’ancienne première dame taclait le PS et Hollande à la suite des élections européennes, perdues face au FN. Selon elle, ce résultat était attendu, à cause notamment de la « nullité abyssale du Pingouin » et de tous ceux qui ont voté en sa faveur.
Carla Bruni-Sarkozy accorde un entretien à Valérie Trierweiler
Il y a quelques semaines, la chanteuse a de nouveau attaqué l’ancien président français en accordant cette fois-ci un entretien pour Paris Match, entretien dirigé par… Valérie Trierweiler, ancienne compagne du président Hollande. D’ailleurs, celle-ci n’a pas hésité à revenir sur leur séparation, étudiée, critiquée et moquée. Selon Carla Bruni-Sarkozy, Trierweiler est une battante, une femme forte qui a su passer outre l’ouragan qui s’est présenté face à elle, avec une certaine dignité et un courage qui impose le respect. Un tacle à peine voilé à l’encontre de son meilleur ennemi, qui devrait apprécier le message. Pas sûr, toutefois, qu’il y réponde.
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