Objectif Lune : Trump veut y renvoyer des astronautes dont une femme

Les Usa s’étaient posés en leader incontesté de la conquête de l’espace en voyant le premier homme sur la lune en 1972. Depuis seule la conquête de l’espace avait intéressée parce moins onéreuse et plus lucrative. Mais Donald Trump qui rêve d’une Amérique ‘’grandiose encore’, désire réitérer l’exploit le plus tôt possible puisque la voie ayant été ouverte, de nombreuses autres grandes nations technologiques s’invitaient dans la compétition.

Une femme sur la Lune et plus tôt que prévu

Pour la Nasa, nul besoin de se presser, le cap avait été franchi en 1972, et l’agence spatiale américaine visait plus loin, coloniser la planète Mars. Aussi selon la presse américaine l’agence spatiale n’aurait prévu aucune autre mission sur la Lune avant 2028. Trop long, estime  l’administration Trump qui ce mardi par la voie du vice-président Mike Pence, avait décidé de remonter la brettelles à l’agence spatiale ; « Nous valons mieux que cela. Cela nous a pris huit ans pour aller sur la Lune la première fois, il y a cinquante ans, alors que nous ne l’avions jamais fait. Cela ne devrait pas nous prendre 11 ans pour y retourner », déclarait-il dans un discours à Huntville, ville siège du Conseil national Spatial, crée en 1989 et réanimer par Trump en 2017 pour booster les politiques spatiales américaines.

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Pour l’administration Trump retourner sur la Lune est pour la politique spatiale du pays, une priorité. Aussi Spence a-t-il annoncé que les USA n’attendraient pas 2028 pour relancer sa conquête lunaire. Et que puisque « L’urgence était le  mot d’ordre », la NASA devait en 2024 déjà pouvoir envoyer la première femme sur la Lune, avec cependant une précision de taille ; « La première femme et le prochain homme sur la Lune seront des astronautes américains, lancés par des fusées américaines depuis le sol américain ».

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