La chanteuse en France d’origine malienne, Aya Nakamura, comparée outre-manche à d’autres grands noms de la musique Pop, fait assurément la fierté de la musique franco-africaine. Récemment, Aya s’épanchait au dictaphone d’un média hexagonal, sur sa rançon à elle de la gloire. L’artiste racontait vivre très mal sa célébrité, sa difficulté à redevenir Aya Danioko, une fois les paillettes tombées.
Quand Faire des courses devient un calvaire…
Le succès pour Aya serait venu selon les observateurs assez rapidement pour cette chanteuse venue des banlieues françaises ; son single ‘’Djadja’’, avait été à sa sortie, l’un des plus regardés sur le net avec plusieurs centaines de milliers de vues. Et contrairement aux autres françaises qui auraient également fait des percées sur les marchés internationaux, Aya n’est pas blanche, arabe ou métisse. Elle est une femme noire dans une industrie connue pour pencher, rapporte un média international, en faveur d’artistes à la peau plus claire.
Cependant, son succès l’aurait un peu trop rapidement mise sous les projecteurs, et Nakamura aurait du mal à en assumer toutes les exigences : « Avant d’être connu, on est d’abord humain », déclarait Nakamura à la presse people expliquant ses multiples déboires de star. Comme cet épisode au supermarché où la star avait dû supporter des commentaires de certains fans, qui trouvaient drôle de voir une star faire la queue comme tout le monde ; une situation que confiait Aya et qui l’avait mise « mal à l’aise », mais avait-elle dit, « faut bien que je mange ».
Laisser un commentaire