Santé : des études pointent les bienfaits du café contre les cancers et crises cardiaques, mais…

Une récente étude publiée au sein du European Journal of Epidemiology, semble prouver que boire du café serait tout, sauf une mauvaise chose. En effet, la caféine aiderait grandement à allonger l’espérance de vie. Attention toutefois car, comme avec toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser.

Une petite tasse de café ? En effet, selon une récente étude, boire du café aiderait à allonger l’espérance de deux ans environ. Une étude qui vient directement confirmer celle réalisée en 2017 et publiée dans le British Medical Journal, qui assurait alors que boire entre 3 à 4 tasses de café par jour aidait le corps à lutter efficacement contre les risques de maladies cardiovasculaires. 

Publicité

Boire du café aide à lutter contre les risques de maladies cardiovasculaires 

Mais ce n’est pas tout, puisque les risques de cancers, de maladie du foie, de démence ou encore de diabète sont eux aussi réduits ! L’étude récemment parue elle, semble toutefois aller plus loin. En effet, selon celle-ci, il faudrait boire entre deux et quatre tasses par jour pour rester dans les clous. Un constat qui a été établi après que les chercheurs en charge de ce projet aient étudié pas moins de 40 dossiers sur le sujet, travaillant ainsi à établir un lien concret entre mortalité et consommation de café.

Pas plus de 5 tasses par jour

Une étude encore plus récente, parue le 10 mai dernier et réalisée par les chercheurs de l’University of South Australia assure pour sa part qu’il est très important de ne pas dépasser les cinq tasses de café par jour. Une mise en garde déjà effectuée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments. Dans les faits, boire entre cinq tasses et plus augmenterait le risque de maladie cardiaque de 22%. La caféine influe directement sur la pression du sang, qui elle, jouera alors sur la façon dont votre cœur peut fonctionner. « Une conséquence connue de la consommation excessive de café » ajoute d’ailleurs Elina Hyppönen, co-auteure de l’étude. Alors du café, oui, mais pas trop !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité