Le 11 septembre 2001, des avions détournés par les terroristes fidèles à Al-Qaida du saoudien Ouassama Ben Laden, finissaient dans les tours jumelles du World Trade Center. L’oncle Sam venait d’être frappé par la plus violente attaque terroriste de son histoire. Des milliers d’américains ont perdu la vie ce jour là. 18 ans après, on compte toujours des morts dans les rangs des pompiers et autres officiers de police qui sont intervenus le jour de l’attentat. Ils ont succombé à des pathologies comme les cancers de poumon, les leucémies et autres lymphomes. La police de New York a dû revoir à la hausse le nombre de ses agents morts plusieurs années après l’attentat de 2001. En effet, ils sont plus de 200 officiers de police à casser la pipe suite à des ennuis de santé causés par l’attentat. C’est bien plus que les 23 policiers qui ont perdu la vie le jour du drame. Signalons que le Congrès a voté une loi en 2010 et en 2015 pour indemniser les victimes de cet évènement.
Des héros à ne pas abandonner
Mais les fonds ne sont pas suffisants. Les demandes ont même accru en 2018. C’est dans ce contexte qu’on annonce la coupure de ces subventions pour la fin de cette année. Cela n’a pas tardé à faire réagir le patron de la police New-yorkaise. James O’Neill pense qu’on ne devrait pas fixer un temps flanqué d’un budget pour les indemnisations. Les personnes qui sollicitent ces fonds sont des héros ou des victimes de l’attentat terroriste. Il est inimaginable de les abandonner à leur sort, fait-il savoir.
Laisser un commentaire