Disparu en 2014, le vol MH370 restes depuis, introuvable. De nombreuses hypothèses ont été étudiées, de l’acte terroriste à l’accident. Toutefois, à ce jour, rien n’a permis aux autorités d’avancer sur le dossier. Récemment cependant, l’enquête a été relancée, la piste du suicide étant à ce stade, « la plus plausible« .
Depuis des années les familles de victimes, mais aussi les enquêteurs attendent d’en apprendre plus. Entre un possible détournement, un acte terroriste, un sabotage où un accident, pas un seul scénario n’a échappé aux enquêteurs qui, pourtant, n’ont toujours pas réussi à élucider ce mystère. Le 8 mars 2014, un avion de la Malaysia Airlines disparaît effectivement, un peu moins d’une petite heure après son décollage. Dans les faits, l’avion modifiera subitement sa trajectoire et continuera de voler quelques instants avant de totalement disparaître des radars.
L’enquête, relancée ?
Depuis ? Absolument rien, si ne c’est quelques débris attribués à l’épave de l’avion. Cependant, des récents documents transmis par Boeing aux autorités françaises, visent à relancer l’enquête. Selon les premières informations, le comportement du pilote serait plus que suspect, relançant la thèse du suicide. En effet, l’avion aurait été piloté et ce, jusqu’au dernier moment. « Certains virages anormaux réalisés par le 777 ne peuvent avoir été réalisés qu’en manuel » affirment certains enquêteurs, même si, pour le moment, il est encore un peu tôt pour tirer une conclusion définitive.
Un profil qui pose question
Seul véritable problème, le profil du pilote. En effet, Zaharie Ahmad Shah, 53 ans, 18.000 heures de vol au compteur, n’était pas du tout suicidaire. Bien que fervent opposant au régime, ce dernier n’a jamais manifesté la moindre envie de mettre fin à ses jours. D’ailleurs, aucun élément concret ne permet d’affirmer que ce dernier a effectivement voulu en finir. Si la douleur est toujours-là, Ghyslain Wattrelos, français qui a perdu quatre proches dans cette terrible catastrophe, salue toutefois l’avancée de l’enquête et le travail des autorités françaises.
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