France : un jeune de 21 ans tué pour une affaire de nuisance de quartier

Ce mercredi, à Mantes-la-Jolie une commune des Yvelines en Ile-de-France, un jeune homme se fait poignarder après une altercation avec un monsieur d’âge mûr dans le Val-Fourré, un quartier réputé ‘’sensible’’, eut égard aux nombreuses émeutes qui s’y sont déroulées ces dernières années. Mais cette fois-ci, l’altercation aurait eu lieu entre résidents d’une même cité.

Quand la violence n’a pas d’âge

L’agresseur, un sexagénaire, habitant le quartier depuis plusieurs années, n’aurait pas hésité au cours d’une brève altercation avec un groupe de jeune qu’il jugeait un peu trop bruyant, à réagir en agressant à l’arme blanche un jeune homme de 21 ans. Une blessure profonde à laquelle il succombera dans l’ambulance le transportant à l’hôpital le plus proche. Les raisons réelles de la dispute resteraient encore à être élucidées.

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En tout état de cause, l’agresseur de 60 ans, d’abord neutralisé par le reste de la bande, aurait été ensuite pris en charge par la police, et conduit au commissariat le plus proche. Il y resterait en garde à vue pour homicide volontaire en attendant les conclusions de l’enquête.

Ce dramatique fait divers intervenait quelques jours seulement après que dans un nouvel accès de « colère urbaine », des habitants du quartier auraient mis le feu en pleine rue à des « engins de quartier ». Un énième acte de vandalisme qui avait fait dire au Maire Raphaël Cognet, élu LR de la commune réputé être l’une des plus « chaude » de France;  « Je ne l’explique pas ! Et quelqu’en soit la cause, tout cela est inacceptable ».

Une réponse

  1. Avatar de Gwen Briss
    Gwen Briss

    Rapporter des faits c’est une connaissance du sujet c’est mieux.
    Ainsi, des mois des années à supporter des vacarmes, nuits sans sommeil, alors petit à petit on change et c’est quelquefois au bord de la folie que l’on se bourre de cachets pour dormir.
    On rêve, on fantasme de tuer tout ce beau monde. On n’est plus normal, on ne supporte plus rien, le cran au dessus, ne plus voir personne, ne plus rien supporter, on meurt tranquillement par petits bouts. On se raccroche tant qu’on peut à la morale, et c’est là qu’on trouve parfois la solution: arriver à faire virer les importuns. Le voisinage devient comme le mal de dos, le problème du siècle.

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