Michael Schumacher malade : Son ex-manager accuse sa femme de cacher la vérité

Michael Schumacher, le septuple champion du monde formule 1, végétait depuis son accident de ski en 2013 , dans de très précaires conditions de santé. Aujourd’hui âgé de 50 ans, le pilote passait le plus clair de son temps chez lui à Gland, en Suisse, où il serait soigné par une équipe de 15 médecins et infirmiers. Jusqu’à ce qu’il soit transféré à Paris en septembre pour y recevoir un traitement expérimental. Depuis, le champion serait littéralement tenu au secret, son épouse Corinne veillant au grain.

Corinne a « probablement peur »

La santé du champion depuis l’accident était devenue une question de « vie privée » et traitée ainsi par son entourage, famille et staff managérial. Si en 2017, la fille de Schumacher, Gina-Maria, avait daigné envoyer via les réseaux sociaux un message à ses fans de maintenir vivace l’espoir de son rétablissement, du côté de son frère Mick, 18 ans, et de leur mère Corrina, 46 ans ce serait plutôt motus et bouche cousue.

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Un silence que l’ancien manager de la star, Willi Weber, déjà en octobre dernier avait décrié : «  Je trouve très regrettable que les fans de Michael ne soient pas informés de son état de santé. Pourquoi ne dit-on pas la vérité? ». Ce lundi encore, alors qu’il se confiait à un média allemand, celui qui avait qui a introduit Schumacher dans le sport en 1991, avait fustigé le manque de communication autour de la santé du Champion.

Pour Weber, la situation du pilote serait plus grave qu’on ne pouvait l’imaginer, et son épouse Corinna en serait consciente. Et ce serait selon lui, la raison pour laquelle, elle s’opposait à toute visite de l’ancien manager ;  « Elle( Corinna) a probablement peur que je comprenne immédiatement ce qu’il se passe et que je rende la vérité publique ».

Mais Willi Weber, déclarait n’être mû que par l’affection qu’il avait pour son ancien poulain et son angoisse de ne point connaître son véritable état ; «  J’aimerais savoir comment il se porte et lui serrer la main ou lui caresser le visage(…) » se serait-il épanché à Kölner Express, un journal de Cologne. Ajoutant néanmoins plein d’espoir ; « Je sais qu’il est un combattant(…) Je prie pour lui et je suis convaincu que nous le reverrons ».

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