France : Isabelle Balkany laisse éclater sa colère

L’affaire Balkany n’est pas terminée. En effet, alors que le couple a été condamné en appel, la femme de l’ancien maire de Levallois ne cesse de faire pression pour que les choses reviennent à la normale. Soucieuse face à la santé de son époux, cette dernière reste d’ailleurs le plus possible auprès de lui. Toutefois, les autorités et la justice commencent à l’agacer au plus haut point.

Sur les réseaux sociaux, celle qui a remplacé Patrick Balkany à la mairie de Levallois donne régulièrement des nouvelles de son époux. Le 29 décembre, celle-ci a cependant semblé être relativement énervée face aux agissements des autorités à l’encontre de sa famille. Rappelant que son mari a été hospitalisé pour un infarctus digestif le 12 décembre dernier à l’hôpital Cochin, Isabelle Balkany a appris avec stupeur que Patrick Balkany a finalement été transféré à la Pitié-Salpétrière, et ce, sans que personne ne soit prévenu, pas même le médecin qui s’est occupé de lui.

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Isabelle Balkany, folle de rage

En outre, comme elle l’affirme sur Facebook, Patrick Balkany a été transféré via un fourgon et non pas par une ambulance, directement dans un service sécurisé spécifiquement mis en place pour les détenus.Une manière pour la justice de rappeler que ce dernier est un détenu comme un autre et non pas un patient lambda. Résultat, il n’a plus accès aux spécialistes qui ont pu s’occuper de lui lors de ses premiers jours au sein de Cochin. De quoi indigner Isabelle Balkany pour qui ce traitement un peu spécifique ressemble à un acharnement à peine voilé.

Le corps médical, pas mis au courant ?

Aujourd’hui, Patrick Balkany ne peut donc plus prendre ses médicaments sans l’avis et l’aval de son spécialiste, un réputé gastro-entérologue. Livré à lui-même, il n’aurait d’ailleurs été en mesure de voir un médecin que sur une courte période de quelques minutes, samedi dernier. “Folle d’angoisse et ivre de rage” comme elle a affirmé être sur les réseaux sociaux, Isabelle Balkany semble ainsi regretter que la justice se soit décidée d’elle-même, sans se tourner vers le corps médical, ni même l’en avertir.

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