Une étude fait un lien entre fréquence des rapports intimes et ménopause

santé, medecine

Une étude parue dans la revue Royal Society Open Science tend à prouver que plus les rapports intimes sont fréquents, plus la ménopause serait retardée. Ainsi, le fait d’avoir au moins un rapport par semaine réduirait de 28% les chances d’avoir une ménopause comparé à celle qui n’en aurait qu’un par mois. Dans les faits, ce résultat s’explique assez facilement. Les signaux reçus par le corps diffèrent en fonction des habitudes des femmes concernées.

Une femme d’une quarantaine d’années, qui n’a pas ou peu de rapports enverra un signal clair à son cerveau, qui comprendra alors qu’il n’existe aucun signe physique d’une possible grossesse. En revanche, dans le cas contraire, le corps se met sur le qui-vive et reste à l’affût du moindre signal, comme préparé.

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Retard de la ménopause

Des résultats qui viennent conclure des années de recherches. En effet, depuis longtemps déjà des études tentent d’expliquer pourquoi une femme mariée atteint la ménopause plus tard qu’une femme divorcée ou qui n’a jamais été mariée. Était alors envisagée, l’option des phéromones mâles, de celles qui attirent la gent féminine, pour expliquer l’absence de ménopause chez les femmes en âge de l’avoir.

Une étude réalisée sur 3.000 femmes

Afin d’affirmer ou infirmer ces présuppositions, les scientifiques en charge du dossier se sont alors penchés sur les cas de 3.000 femmes, dont l’âge moyen était de 46 ans, étudiées entre 1996 et 1997. Si aucune d’elles n’était en ménopause à l’époque, certaines commençaient à en subir les premiers symptômes. Quelques années plus tard, 45% des sondées ont alors connu un phénomène de ménopause dît, naturel, et ce, à partir de 52 ans. Résultat, il apparaît clair que celles qui ont eu des rapports fréquents faisaient partie des dernières à être directement touchées par ce phénomène naturel.

Une réponse

  1. Avatar de Lontchedji Charles
    Lontchedji Charles

    Ce site est très bon car il fournit des informations vraies du l’onde entier.

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